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Agé de 18 ans, Jürgen Conings débute sa carrière à l’armée. Il y évolue comme fusiller et sniper. Il participe à plusieurs opérations avant d’intégrer la police militaire.
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Le militaire est repéré pour la première fois par les services de la Sûreté de l’Etat car il aurait apporté son soutien à une association d’aide aux chrétiens d’Orient. Rien d’alarmant mais ce type de mouvement est répertorié dans les données des services de renseignement belges.
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De 2017 à 2019, les services de police dressent plusieurs procès-verbaux contre Conings, notamment pour « port d’une arme prohibée », c’est-à-dire d’une arme blanche et « menaces ». A l’époque, les renseignements militaires n’en sont pas informés. -
Jürgen Conings est à nouveau signalé car il serait membre d’un mouvement d’extrême droite.
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Au début de l’année, la Défense porte plainte contre le caporal Conings pour des propos racistes et xénophobes publiés sur Facebook. Dans ces publications, il s’en prend également aux virologues et à la politique sanitaire. Le dossier est classé sans suite par le Parquet et Conings est notifié d’un arrêt de 4 jours. -
Au début de l'été 2020, Conings effectue des recherches concernant l'adresse du virologue Marc Van Ranst.
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En juin 2020, Jürgen Conings est muté dans une fonction de support, en appui des instructeurs en charge de la préparation aux missions à l’étranger. Il avait dès lors accès à des armes et munitions pour les mettre à la disposition des militaires en formation. Link text