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Après la mort d'Alexandre, le grec devient la langue dominante de la civilisation hellénistique.
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Au IIe siècle avant J.-C., le premier traducteur européen, il est connu pour ses traductions romaines.
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Champollion a pu déchiffrer les hiéroglyphes et la pierre de Rosette a permis de traduire l'égyptien en grec.
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Cicéron distingue ainsi deux formes de traduction: la première est la traduction de «l’interpres» et la seconde celle de "l’orator ".
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Marque le moment où la traduction littérale n'altère pas les textes sacrés.
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Il souligne que la traduction mot à mot n'est pas nécessaire.
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La traduction Luther a forgé la langue allemande par ses œuvres et la traduction de la Bible sont les contributions les plus importantes.
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Cotterêts voit l'établissement du français comme seule langue du royaume.
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L’un des premiers théoriciens de la traduction à la Renaissance
est Étienne Dolet à qui l’on doit en français le mot traduction. -
Les traductions élisabéthaines telles que la traduction de North des Lives of the Noble Grecians and Romans de Plutarque ne sont pas parmi les plus célèbres.
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Florio est également connu pour son dictionnaire italien-anglais au titre évocateur.
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En France a créé l'Académie française et sur les traces de Malherbe, qui ordonne et apure le français, Vaugelas définit ce que doit en être le bon usage dans ses Remarques sur la langue française.
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Perrot entre à l'Académie et transforme ainsi les auteurs latins et grecs en auteurs espagnols.
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Dans sa préface aux Epîtres d'Ovide, Dryden donne une définition de la traduction résolument moderne dans son rejet de l’imitation. Aussi Dryden distingue trois formes de traduction.
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XVIIIe siècle, lorsque l'originalité est devenue une valeur littéraire et que le terme "plagiat" n'est pas devenu péjoratif. C’est-à-dire au moment où l’originalité devient une valeur littéraire.
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Motte distingue les traductions " littéraires ", comme la traduction en prose de Mme Dacier. Et les œuvres de Houdar de la Motte si extravagantes, c'est parce que qu'ils ne seraient plus considérés strictement comme des des traductions, mais des adaptations.
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Le mouvement de balancier avait été complet dans le sens de l’imitation ; il le sera tout autant dans le sens opposé au XIXe siècle a été le siècle des traductions littérales.
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Les traductions de Chapman ont marqué l'avènement de l'anglais élisabéthain.
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Dans les années 1781 et 1819, les grandes traductions de Goethe, et Johann Heinrich Voss ont d'abord été accueillies avec scepticisme, avant d’être considérées comme de grandes traductions.
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Chateaubriand indique son refus de faire une traduction "élégante".ajoutant que : c’est une traduction littérale dans toute la force du terme que j’ai entreprise, une traduction qu’un enfant ou un poète pourront suivre sur le texte, ligne à ligne, mot à mot, comme un dictionnaire ouvert sous les yeux.
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Le XXe siècle voit la victoire de l'esprit sur le littéralisme du siècle précédent. Hölderlin a été reconnu pour ses traductions au XXe siècle, sans oublier les contributeurs qui se sont distingués au XXe siècle par leur caractère littéraire, citons Antoine Berman, Henri Meschonnic ou Jacqueline Risset, Ezra Pound, Octavio Paz, Haroldo de Campos et Efim Etkind.
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Goethe distingue un cycle de trois sortes de traduction : La première se limite à transmettre l’oeuvre telle qu’elle est dans la langue originale. La deuxième présente l’œuvre de telle sorte qu’elle paraît avoir été composée dans la langue de la culture réceptrice. La troisième est une synthèse des deux précédentes.