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La mine de zinc Vieille-Montagne
Dans l'actuelle Belgique près de la frontière allemande, avec un droit d'exploiter la mine de zinc Vieille-Montagne à Moresnet attribué par Napoléon Bonaparte à Jean-Jacques Dony. Ce qui deviendra la Société Anonyme des Mines et Fonderies de Zinc de la Vieille-Montagne quelques années plus tard. -
La Vieille-Montagne
La création de la Société Anonyme des Mines et Fonderies de Zinc de la Vieille-Montagne le plus ancien prédécesseur de l'éventuelle société Umicore a été créée en 1837, après l'indépendance de la Belgique -
Union Minière du Haut Katanga
L'Union Minière du Haut Katanga était créer par la société générale de Belgique à la requête du roi Léopold II de Belgique afin de exploiter les vastes ressources naturelles de la colonie belges, le Congo. -
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L’entre-deux guerres
La Société Générale de Belgique va profiter de la mise sous séquestre des biens ennemis situés en Belgique, pour acquérir l’usine de raffinage d’Hoboken.
Le grand krach de la bourse de New-York de 1925 au quel L’Union Minière du Haut-Katanga a pu s'en sortir mais garce à des réductions drastiques des dépenses et suppression du dividende. -
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UMHK pendant la Seconde Guerre mondiale
UMHK a eu une période de plein rendement de cuivre pour la cause alliée et d'uranuim congolais qui a été utilisé dans la construction des premières bombes nucléaires américaines (Projet Manhattan) -
Les années prospères
La société est des plus prospères durant les années 1950 grâce aux prix soutenus des matières premières et dans un contexte de guerre froide où les principales nations occidentales se constituent des stocks stratégiques de cuivre. -
La nationalisation de L'UMHK
Le UMHK a été nationalisée par le régime du président Mobutu Sese Seko et plus 800 millions $ des actifs de la société ont été saisis par l'Etat congolaise. -
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La crise mondiale des années 1970
la crise rend plus difficile la rentabilisation des tentatives de l'Union Minière de réinvestissement. Elle frappe durement les filiales travaillant dans le secteur des non ferreux (MHO, Vieille-Montagne, Asturienne des Mines) -
Union Miniére
Dès 1989, Union Minière , pilotée par son actionnaire SUEZ, absorbe MHO (Métallurgie-Hoboken-Overpelt ), la Vieille Montagne et sa société d’ingénierie Mechim, pour devenir un véritable groupe industriel intégré de plus de 16 500 personnes. Sa capitalisation boursière atteint les 65 milliards de francs belges. -
Le plan de redressement
Dès 1991, Jean Pierre Rodier le nouvel administrateur d’UM se lance dans une vaste restructuration, rationnalisation et réduction des coûts appelées "Plan 4 milliards", qui a mené à une réduction des effectifs globaux de plus de 2000 employés. -
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Stratégie de rajustement
Sous la direction de Karel Vincke le groupe s'est de plus en plus positionné comme entreprise de matériaux de spécialité avec plus d'investissement mais accompagné de 3000 suppressions d'emplois. Ayant déjà vendu ses actifs miniers et autres actifs non stratégiques restants, il se concentrait désormais sur les métaux précieux, les produits de zinc à marge élevée et les matériaux avancés. -
Une situation de crise
Le groupe frôle la catastrophe. Trois facteurs concourent à cette nouvelle situation de crise. Les cours de la plupart des non-ferreux repartent à la baisse, le dollar s’effondre et handicape la compétitivité des Européens. Et, surtout, le démarrage de la nouvelle fonderie de la « business unit métaux précieux » d’Hoboken connait de très grosses difficultés -
Transmutation du groupe Union Minière: Umicore
Union minière adopte un nouveau nom : Umicore, nom qui cherche à exprimer les objectifs poursuivis par l’entreprise : elle est active au cœur (core) du monde des matériaux et les produits qu’elle développe facilitent la vie quotidienne. Les deux premières lettres du nom sont les initiales de l’ancien, par allusion aux racines historiques du groupe. -
Intégration Precious Metals Group (PMG)
L'acquisition de PMG a ajouté une nouvelle dimension à l'entreprise, notamment une présence importante dans le secteur des catalyseurs automobiles. PMG était en fait l'ancienne unité des métaux précieux du groupe allemand Degussa - la société même qui, en 1887, avait été l'un des actionnaires fondateurs de l'usine d'Umicore à Hoboken. -
Cumerio
En 2005, dans sa stratégie de s’éloigner de la métallurgie brute, Umicore a abandonné ses activités de cuivre dans une société distincte appelée Cumerio. -
Nyrstar
Umicore a combiné ses activités de raffinage du zinc et d'alliages avec celles de Zinifex, les unissant dans une nouvelle société sous le nom de Nyrstar (umicore avec 40% et Zinifex à hauteur de 60%). -
La crise financière mondiale
L'effectif du groupe a été réduit de plus de 500 personnes depuis le début de l'année, principalement dans l'entité "Precious Metals Products & Catalysts", fortement touchée par la récession du secteur automobile. Plus de 1.000 postes ont en outre été supprimés dans les entreprises associées et un millier de travailleurs sont soumis à un régime de travail réduit ou de chômage temporaire. -
L’année de tous les records
La mise en service de la capacité supplémentaire à Hoboken qui devient la plus importante installation au monde pour la récupération de métaux précieux à partir de déchets électroniques.2018 a été la meilleure année de toute l’histoire de l’entreprise en matière de rentabilité. -
Croissance continue
Le Groupe est implanté sur quatre continents et a réalisé un chiffre d'affaires (hors métal) de 3,4 milliards d'euros (chiffre d'affaires de 17,5 milliards d'euros) en 2019. Il emploie actuellement 11152 personnes, dans 50 sites de production et 15 centre R&D. -
Aujourd'hui
l'ampleur et la durée de l'impact du COVID-19 sont actuellement très incertaines et la situation évolue rapidement avec de nombreux clients de l'automobile fermant leurs activités pour une période indéterminée. La situation a poussé Umicore à s'attendre à un résultat 2020 "bien en-dessous" de celui de 2019 et à prendre la décision de réduire le dividende au titre de l'exercice 2019 par prudence.
