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Le grec devient la langue dominante du fait que la civilisation hellénistique était assez grande.
La Septante est traduite à Alexandrie de l'hébreu en grec -
Livius Andronicus premier traducteur européen connu
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Avec des considérations pratiquement inexistantes avant lui. Il distingue deux formes de traduction :
1er degré: la traduction proprement dit
2ème degré: une adaptation -
Il ne faut pas traduire "verbum pro verbo" « mot à mot »
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Il préconise la méthode dans laquelle il établit que seule la traduction littérale serait en mesure de ne pas altérer les textes sacrés.
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Il reprend le concept de Cicéron qu'il ne faut pas écrire mot à mot.
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Champollion décrypte les hiéroglyphes
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Jérôme confesse ici que quand il traduit les Grecs, il ne le fait pas à mot. Sauf dans les Saintes écritures
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Dante plaide la cause de l'expression en "langue vulgaire"
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à l'allemand
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Grâce à Étienne Dolet, un des premiers théoriciens de la traduction à la Renaissance
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Il reprend le raisonnement de Cicéron et l'applique à la langue nationale: l'imitation des Anciens doit se faire qu'au service de la langue française.
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Il ne traduit en opposant les mot au sens mais plutôt aux sentiments et émotions que l'auteur cherchait à produire chez le lecteur.
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"Tu composeras hardiment des motz à l'imitation des Grecs, et Latins."
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D'y s'inspire Shakespeare pour ses pièces romaines et cette traduction devient la plus célèbre des traductions élisabéthaines.
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Les transformations apportées par John Florio au texte de Montaigne rappellent celles qu'apporte Amyot à la traduction de Plutarque.
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Une traduction en Anglais de la Bible.
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Il transforme auteurs latins, grecs ou espagnols en les traduisant.
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Dryden donne une définition de la traduction résolument moderne dans son rejet de l'imitation. Il distingue trois formes de traduction:
Métaphrase (la traduction littérale)
Traduction (la traduction proprement dite)
L'imitation -
Houdar de la Motte suit Homère à la lettre pour cette traduction.
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à ce moment-là l'originalité devient une valeur littéraire;
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Ces traductions sont considérés comme de grandes traductions après avoir été reçues avec escépticisme.
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1: se limite à transmettre telle qu'elle est dans la langue originale
2: présente l'œuvre de manière qu'elle paraît avoir été composé dans la langue de la culture réceptrice
3: est un synthèse des deux précédentes
Cette dernière est la meilleure selon Goethe -
Sa traduction est faite d'une manière pas littérale, ce qu’Houdar appelle une « imitation élégante »
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Après la Seconde Guerre Mondial
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Pendant la Renaissance