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Parmi les visiteurs : Loïe Fuller, Isadora Duncan, Auguste Rodin
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Par cette publication Muybridge aborde l'analyse du mouvement.
Autre pionnier du genre en France : Etienne-Jules Marrey -
Gordon Craig entame un travail sur des pièces muettes
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Publication par Charles Aubert du traité "L'art de la pantomime".
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Publié pour la première fois en 1885, Geneviève Stebbins est une disciple de Delsarte et applique les principes de son maître à la danse.
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Jaques-Dalcroze répand ainsi sa conception de la rythmique en accordant une place centrale au corps dans l'éducation musicale.
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G. Craig affirme, entre autres, que "l'art du théâtre naît de l'action, du mouvement, de la danse".
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Publication de deux ouvrages de G. Craig de "Les artistes du théâtre de l'avenir" et "L'acteur et la surmarionnette".
Craig s'attaque au théâtre trop réaliste et revendique un théâtre du corps. -
L'ouvrage de Georges Hébert, en 1912, "L'éducation physique ou l'entraînement complet par la méthode naturelle" contient de nombreuses photos des mouvements sportifs et inspirera l'enseignement de Decroux.
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Titre de l'article : "Les premières tentatives du théâtre de 'la convention' ", écrit par V. Meyerhold, il y revendique une plastique théâtrale qui ne corresponde pas aux mots.
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La représentation géométrique du corps s'affiche en peinture.
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Ouverture à Paris par Jean d'Udine, dans la lignée de Jaques-Dalcroze, de la première école de rythmique
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Dans cet ouvrage, il énonce sa théorie sur le 'premier instinct de théâtralité' et recherche l'origine du théâtre.
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L'oeuvre signe l'affirmation d'un courant anti-naturaliste et anti-romantique dans son travail.
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Au Japon, découverte par Yoshida Togo des traités sur le Nô de Zeami (1365-1443). La diffusion en Occident attendra la traduction française de ces textes en 1960 par René Sieffert.
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Publication de l'ouvrage "L'art et le geste" par J. d'Udine.
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Decroux le considère comme une de ses premières révélations pour la création future du mime corporel.
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Apparition des oeuvres de Chaplin sur les écrans français. Ses oeuvres ont une profonde influence sur des artistes mimes : Decroux mais surtout Marceau.
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Lieu d'expérimentations à destination des acteurs, on y pratique la gymnastique suédoise, yoga et relaxation, danse, etc.
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Considéré comme un ouvrage capital pour le théâtre du XXème siècle.
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Conférence donnée à Paris au cours de laquelle Georges Wague affirme : "La pantomime moderne est l'art d'exprimer des sentiments tandis que la pantomime dite 'classique' est le moyen pour traduire des mots avec des gestes."
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Craig crée son école à Florence. Les matières enseignées sont centrées sur les disciplines physiques et l'expression corporelle.
L'école fermera à cause de la guerre l'année suivante. -
Ouverture de l'Ecole de danse et d'arts scéniques à Monte Verità.
Recherche d'une nouvelle forme de danse pure. Le programme de l'Ecole prévoit : art du mouvement, exercices physiques, jeux et danses, art vocal, composition musicale, art oratoire, architecture, modelage.
Naissance de la 'danse libre'. -
Ce studio est dédié à la recherche d'une technique pour l'acteur qui part du corps et du mouvement en utilisant l'improvisation (ensuite appelée 'biomécanique').
Les élèves doivent suivre des cours de sport : danse, tennis, voile, lancé de disque, etc. -
Rencontre décisive dans l'élaboration de la pédagogie de Copeau (le projet ne deviendra concret que 5 ans plus tard)
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Copeau les engagera dans son école quelques années plus tard.
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Recherches sur le rapport acteur/espace, sur le mouvement, sur la marionnette non traditionnelle, les effets cinétiques et lumineux.
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Apparition sur la scène cinématographique des oeuvres de B. Keaton.
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Théâtre-école, au programme : improvisation, gymnastique rythmique, diction, récitation, théorie du théâtre, puis, dès 1927, danse et pantomime.
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Enseignant d'éducation physique et spécialiste en rééducation médicale.
Septembre 1941 : intègre l'école du Vieux-Colombier -
Decroux intègre le groupe "instruction scénique" dirigé par Georges Vitray, à destination des élèves aux ambitions non-professionnelles.
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Copeau emmène un groupe de jeunes acteurs travailler en Bourgogne, ils se font appeler "Les Copiaus".
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Decroux commence une double existence artistique : comme acteur professionnel de théâtre et de cinéma.
Il travaille avec Baty, Jouvet, puis intègre la compagnie de l'Atelier dirigée par C. Dullin.
Huit ans plus tard, il quittera Dullin pour se consacrer à son école et ses recherches sur le mime. -
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La Cie disparaîtra en 1939 à la déclaration de la seconde guerre mondiale.
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Neveu de Copeau, il rassemble ainsi les ex-Copiaus et poursuit le travail entamé en Bourgogne.
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Fils unique et futur collaborateur d'E. Decroux
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Première pièce de mime, créée en solo, présentée une seule fois.
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La collaboration Decroux-Barrault donne ses fruits : "La vie primitive", "La vie artisanale" et "La vie médiévale"
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Artaud assiste à un spectacle Balinais au pavillon hollandais de l'Exposition Coloniale de Paris, il écrit un article insistant sur une mimique de gestes spirituels.
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1931-1933
Mise au point des principes de base : contrepoids, déséquilibre, marche sur place ou glissée, etc. -
Publication de l'ouvrage d'A. Artaud : "Le théâtre de la cruauté" doit s'appuyer sur les mouvements, les harmonies, les rythmes pour aboutir à une expression totale.
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1933-1939
Decroux construit son "Grand projet" de création d'une nouvelle discipline : le mime corporel. -
Pièce de Jean Blanchon, la critique salue la performance d'acteur de Decroux.
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Artaud affirme que l'acteur est un 'athlète du coeur', insiste sur l'importance de la respiration. Les acteurs ont oublié d'avoir un corps.
Lien geste-respiration-émotion -
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Publication de l'ouvrage "Le théâtre populaire" de Jacques Copeau. L'ouvrage présente un certain nombre d'éléments propres à la pensée de Copeau sur l'état et l'avenir du théâtre.
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Dans son école, avec ses élèves, représentations d'un programme inédit ("La chirurgie esthétique", "La dernière conquête", "Passage des hommes sur la terre", "Le feu") devant un public restreint mais comptant des personnalités importantes : Picasso, Cocteau, Dullin, Baty, Achard, Hébertot, etc., et toute la presse spécialisée.
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Interruption des représentations de numéros pour se concentrer sur la recherche des principes et les possibilités expressives du mime corporel.
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Arrivée de Marceau à l'Atelier, avec Eliane Guyon, ils deviennent de fervents adeptes de Decroux.
Guyon et Marceau suivent les cours de Decroux. -
Professeur d'éducation physique, il commence à suivre des cours d'improvisation et danse expressive grâce à des connaissances communes avec Artaud, Barrault, etc.
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Joué à la Comédie Française pendant l'entracte de "Antoine et Cléopâtre" mis en scène par Barrault.
Deviendra "Le combat antique", repris par Decroux avec son fils Maximilien. -
Il entre dans la Cie des Comédiens, dirigée par Jean Dasté à Grenoble.
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Partant des exercices et numéros de Decroux et Barrault, Marceau crée quelques numéros qui deviendront célèbres : la marche contre le vent, la marche dans l'eau, l'escalier, la bague, le tireur de corde.
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A la Maison de la Chimie, sous la présidence honorifique de G. Craig, devant une salle comble, c'est la première grande consécration des recherches de Decroux. Programme : conférences et nombreux numéros de mime.
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Environ 37 séances sont proposées en 1946.
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Decroux et sa compagnie commencent les tournées en Belgique, en Suisse, en Israël, en Hollande et en Angleterre.
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Dirigé par Lee Strasberg.
Travail sur la "mémoire émotive" et la motivation psychologique. -
Avec la victoire du prix Deburau pour sa pièce "Je suis mort avant l'aube", le divorce Marceau-Decroux est consommé.
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Publication de l'ouvrage "Réflexions sur le théâtre" de Jean-Louis Barrault
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Decroux effectue plusieurs séjours aux Etats-Unis : représentations, conférences, masterclass, etc.
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Publication de l'ouvrage "A la rencontre de la mime" de Jean Dorcy.
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Ecole basée sur l'improvisation collective et l'enseignement du mime athlétique et dynamique.
Maximilien poursuit en parallèle sa collaboration avec son père. -
Spectacle de Decroux avec sa compagnie américaine à New-York
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De retour des Etats-Unis, Decroux réouvre son école et se dédie surtout à la recherche et à l'enseignement en poursuivant certaines créations avec ses élèves.
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Considéré aujourd'hui comme le livre manifeste du mime corporel.
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Théâtre basé sur l'expression physique, vocale et gestuelle grâce à un solide entraînement physique quotidien.
Exercices de pantomime, de ballet, gymnastique, sport, rythmique, yoga, arts plastiques. -
Ex élève de Lecoq, Ariane Mnouchkine fonde le Théâtre du Soleil et porte au premier plan le corps de l'acteur et l'improvisation.
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Publication de l'ouvrage "Le geste et la parole" de André Leroi-Gourhan. L'ouvrage remet en question les conventions liées au rapport langage gestuel/langage verbal.
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A Paris dans son école et dans le monde entier avec des stages, conférences, séminaires, etc.
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Publication de l'ouvrage "Pour un théâtre pauvre" de Jerzy Grotowski. On y trouve des similitudes avec certaines idées de Decroux affirmées dans les années 1930 : réduction du théâtre à son essence, le corps de l'acteur.
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Fermeture deux ans plus tard
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Publication de l'ouvrage "L'anthropologie du geste" de Marcel Jousse. L'ouvrage influencera largement le travail pédagogique de Lecoq en particulier.
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Ex élève de Decroux, l'Atelier Studio 2 s'ouvre avec Ingemar Lindh, Maria Lexa et Gisèle Pélisson, tous issus de l'école de Decroux.
Objectif : poursuivre le travail de Decroux vers un mime tragico-abstrait. -
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Consécration de l'explosion du mime déjà en développement en Suisse depuis quelques années.
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Ex-assistant de Decroux et de retour aux Etats-Unis, T. Leabhart lance la première revue consacrée exclusivement au mime.
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A l'initiative de Silvia Monfort.
L'école de mime est dirigée par Gérard Lebreton. -
Publication de l'ouvrage "L'histoire de Bip" par Marcel Marceau. L'ouvrage fera l'objet de nombreuses traductions.
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A Paris, fondé par deux ex-élèves de Decroux : Claire Heggen et Yves Marc.
Influences : danse, sport, eutonie (Alexander), conscience corporelle, rapport corps/musique. -
Jean Asselin et Denise Boulanger, fondateurs du groupe Omnibus et après 5 ans de travail avec Decroux, rentrent au Québec où ils perpétuent les recherches sur le mime corporel.
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Publication de l'ouvrage "Mime et mimes..." de Marco de Marinis. L'ouvrage vise à analyser le mime du XXème siècle dans une perspective historique.
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Dans l'ouvrage "Anthropologie théâtrale" Barba définit Decroux comme l'unique homme d'Occident à la hauteur des maîtres orientaux.
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Corinne Soum et Steven Wasson, ex-élèves de Decroux, fondent l'Ecole de Mime Corporel Dramatique à Paris où ils poursuivent les recherches de Decroux.
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Publication de l'ouvrage "Le théâtre du geste. Mimes et acteurs", de Jacques Lecoq.
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Publication de l'ouvrage "Modern and post-modern mime" de Thomas Leabhart
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