Les événements marquants de l’histoire de Montréal

  • Un projet missionnaire

    Un projet missionnaire
    Jérôme Le Royer de la Dauversière crée la Société de Notre-Dame de Montréal avec Jean-Jacques Olier. Le but est de convertir les amérindiens de la Nouvelle-France au catholicisme. Ils veulent que ce soit une colonie missionnaire où les colons Français pourraient vivre en compagnie de ces indigènes en travaillant dans l’agriculture. Ils parviennent à recruter Paul de Chomedey de Maisonneuve qui dirigera le projet. Ils ajouteront aussi Jeanne mance. En mais 1642, ils s’établissent à Montréal.
  • Le premier hôpital (Hôtel-Dieu)

    Le premier hôpital (Hôtel-Dieu)
    L’Hôtel-Dieu s’est fait construire par l’ordonnance de Jeanne Mance ent 1645. C’est très difficile au Québec. Elle décide donc de ramener de la main d’œuvre de France en 1659. Elle est de retour avec trois hospitalières de Saint-Joseph. L’Hôtel-Dieu aura été le seul durant près de 177 ans. Les hospitalières de Saint-Joseph ont beaucoup de l’Ain sur la planche en s’occupant des malades des deux sexes. L’hôpital fut brûlé trois fois, en 1695, en 1721 et en 1734.
  • L’expédition de Radisson et Des Groseillers.

    L’expédition de Radisson et Des Groseillers.
    Pierre-Esprit Tadisson organise un voyage avec son beau-frère (Des Groseillers) après avoir vécu avec les Iroquois depuis 1651. Dû à un énorme manque de fourrures, partent explorer l’Ouest et le Sud des Grands Lacs et reviennent avec une grande marchandise de fourrures, confisquées pratiquement au complet par le gouverneur pour de diverses raisons. À leur arrivée à Montréal en 1660, on incarne une nouvelle manière: il faut aller chez les Amérindiens pour s’approvisionner en fourrures.
  • De nouveaux propriétaires

    De nouveaux propriétaires
    En 1663, il y a plusieurs changements en Nouvelle-France comme par exemple, la Compagnie des Cent-Asssociés est à sa fin et le roi de France choisi de diriger la colonie par lui-même. Plus tard dans l’année, la Société Notre-Dame lègue sa propriété de la seigneurie de Montréal aux religieux, les Sulpiciens. Ces religieux était déjà présents à Ville-Marie depuis 1657 et s’occupait du spiritualisme des colons. Leur importance grandira dans l’histoire de Montréal.
  • La Grande Paix de Montréal

    La Grande Paix de Montréal
    En août 1701, les Iroquois qui était de plus en plus faible en étant douteux de choisir un côté entre les Français et les Anglais Décide finalement de faire la paix avec ces deux Empires. Le traité de paix fut signé par Louis-Hector de Callière et les chef de 30 nations amérindiennes et plus qui acceptaient de s’allier aux Français. Cet accord dura plus longtemps que ces ancêtres. Les Iroquois n’était plus donc plus des ennemis et sans avoir peur d’eux.
  • La capitulation de Montréal

    La capitulation de Montréal
    Le 6 septembre 1760, vers la fin de la Guerre de sept ans, le gouverneur Vaudreuil est conseiller de négocier leurs conditions avec le général Jeffrey Amherst. On refusent les honneurs habituels de la guerre aux soldats français. On veut permettre le choix de retourner en France aux colons si la colonie est aux Anglais après le traité de paix décidé. Le droit civil français, le droit de propriété, le droit de de religion et le droit des biens des alliés autochtones et missionnaires est demandé.
  • La première université montréalaise (McGill College)

    La première université montréalaise (McGill College)
    En 1821, le marchand James McGill veut aider le développement de Montréal et donne alors une grande somme d’argent et ses terrains pour y bâtir la première université de Montréal. Les premiers coure auront lieu dans sa vill de campagne qui prendra le nom de McGill College. De nouvelles ailes seront construites grâce à des donations provenant de William Molson ou John Redpath et plusieurs autres. Son nom changera pour l’Universite McGill en 1885. Elle aura à ce moment une dizaine de bâtisses.
  • Le premier maire du parlement

    Le premier maire du parlement
    Jacques Viger était énormément instruit. Il s’est battu contre les anglais. Il était le cousin de Louis-Joseph Papineau. Il est ensuite devenu en quelque sorte le fonctionnaire de Montréal. Le 3 juin 1833, il est élu maire de Montréal. Il crée les trois premières armoires et la devise de la ville. En 1836, il perd son poste et ne participe pas aux rebellions des patriotes. Il restera un homme politique mais principalement un archiviste. Il fondera aussi la société historique de Montréal.
  • L’incendie du parlement

    L’incendie du parlement
    En 1849, lors de la session du parlement, le ministère La Fontaine-Baldwin veut voter une indemnité, pour chaque canadiens du Bas-Canada. En 1837-1838, le Haut-Canada en avait déjà vécu une vôté que façon négative pour eux. Un remboursement de 100 000 livre est voté par la chambre du Canada-Uni. Les marchands britanniques tories de Montréal devinrent enragés. 1500 manifestants se rassemblèrent pour envahir le parlement. Il font brûler le parlement on perdit de précieux documents.
  • Le pont Victoria

    Le pont Victoria
    Ce pont a été bâtit ente 1854 et 1859. Ce fit le premier pont traversant les deux rives du fleuve Saint-Laurent. Ce fut un grand atout pour le transport de marchandise. Son ouverture fut le 12 décembre 1859 et il est réservé pour seulement les trains et leurs chemins de fer. Il mesure 2790 mètres de longueur et il était le plus long pont ferroviaire sur Terre et il était parfois considéré comme la huitième merveille du monde.
  • Travaux publics

    Travaux publics
    En 1932, Montréal organise un énorme vague d’offres d’emplois aux chômeurs .en raison de la crise économique qui en était à son plein potentiel. Les emplois étaient pour les pères de famille parce qu’on ne pouvait pas pas en donner à tout le monde. Les travaux publics offerts étaient par exemple: chantiers de construction de ponts, pavage de routes, construction de baignoire, de toilettes publiques, de piscines publiques extérieures, de magasins, d’égouts, de tunnels piétonniers et d’aqueducs.
  • La voie maritime du Saint-Laurent

    La voie maritime du Saint-Laurent
    Cet énorme voie fluviale artificielle permet le déplacement entre Montréal et le lac Érié. Ce cours d’eau profond mesurant 3700 km est constitué de sept écluses dont cinq au Canada et deux aux États-Unis. Elle rendent possible le contournement des chutes du Niagara et de traverser les rapides de Lachine. Jusqu’à aujourd’hui, le voie maritime du Saint-Laurent est dirigée par le Canada et les États-Unis.
  • Place Ville Marie

    Place Ville Marie
    Place Ville Marie est est emblème de Montréal. Il a été construit entre 1958 et 1962. Lors de sa construction, il était le plus considérable complexe d’affaires au monde. En démontrant la modernisation et l’importance de la ville, Montréal a obtenu la statut de ville classe mondiale. Maintenant, il permet à 10 000 personnes dans plus d’une centaine de compagnie et sociétés de pouvoir y travailler en permettant de garder la signification influente de ce magnifique édifice.
  • Expo 67

    Expo 67
    L’Expo 67 est un événement mémorable de Montréal. Son ouverture fut du 27 avril au 29 octobre 1967. Dépassant les 50 millions de visiteurs, c’est 62 pays différents, organisations multinationales, grandes compagnies et organismes du Canada ayant pour thème « Terre des Hommes ». Ceci a permis au Québec d’en apprendre sur le monde. Encore à ce jour, c’est l’une des plus bonifiantes expositions universelles qui fut présentée. Elle représentait les cent ans de la Confédération canadienne.
  • La Crise d’Octobre

    La Crise d’Octobre
    En octobre 1970, le Front de libération du Québec, un groupe de marginaux violents et armés voulant que le Québec se sépare du Canada, veulent enlever le diplomate Richard Cross et le ministre Pierre Laporte. Pour protéger le peuple, le gouvernement canadien envoie l’armée à Montréal. Plusieurs arrestations sont effectuées. Plus tard, on retrouve la cadavre de Pierre Laporte qui fut étranglé. Les deux tueurs du FLQ furent emprisonnés. Le jour suivant, on s’entend pour régler ça diplomatiquement.
  • Le Jeux Olympiques

    Le Jeux Olympiques
    Lors de la saison estivale de 1976, Montréal reçoit les Jeux Olympiques. Stéphane Préfontaine et Sara Henderson tiennent le flambeau afin de démontrer l’harmonie du français et de l’anglais. Parmi ces participants, il y a 92 nations, 6084 athlètes dont 414 canadiens, 3 195 170 spectateurs, 1 milliards à la télé et 21 sports différents et un agrandissement de femmes participantes. On a construit le Stade Olympique, l’aréna Maurice-Richard, le complexe Claude-Robillard, le village olympique, etc.