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Les difficultés des autres
Pour protéger son agriculture, le R-U adopte des corn-laws pour limiter l’entrée des céréales venant de d’autres pays européens dans leur pays avantageant le Canada surtout le haut-Canada. En cause du déclin du commerce des fourrures, la compagnie du Nord ouest doit parcourir quatre fois la distance que la compagnie de la baie dhudson parcourt. Finalement, les deux compagnie vont fusionner après la demande de la G-B faisant de la compagnie de la B-dhudson la plus importante au monde en fourrures -
La richesse des uns...
Le bois devient le produit le plus exporté de la colonie avec la création d’une multitude de compagnie. Les britanniques occupent les emplois les mieux rémunérés alors que les canadiens et les irlandais sont laissés avec des emplois très demandant physiquement et mal payés. Ce commerce entraîne la création des banques pour faire circuler plus d’argent. Des canaux seront également construit pour que les navires contournes les rapides de Lachine. -
The great migration
Au Royaume unis, le travail se fair rare et l’agriculture est difficile alors, en moyenne 10000 immigrants débarque au Québec par année par des bateaux avec des conditions très insalubres. La plupart vont au Haut Canada et aux E-U pour la langue. Il y a alors plus d’anglophones, de marchands et de pauvres. L’agriculture reste une activité de subsistance. À la ferme les hommes s’occupent des tâches plus physiques en les femmes plus m’engagèrent. Une nouvelle architecture fair également place -
Des idées qui traversent les frontières
En 1815, les frontières changent en Europe et les habitant reclame un pouvoir plus important pour le peuple. Plusieurs pays se soulèvent pour leur indépendance comme la Belgique. Les colonies d’Amérique latine se soulèvent pour se libérer de leur métropole en briser le lien colonial. La situation sert d’argument aux demandes des patriotes du bas Canada. -
La politique s’envenime
La clique du château(bas Canada) réclame l’abolition du système seigneurial en du droit civile français. La family compact(haut-Canada) cherche à protéger ses privilèges économiques et politiques. La chambre d’assemblée refuse de voter la liste civile et d’approuver les subsides sans le contrôle des dépenses. En 1820 ce n’est encore pas résolu. Il y a une crise des douanes et un projet d’union du Canada qui sera refusé. Des députés patriotes réclame de l’autonomie pour la chambre d’assemblée.