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Thalès de Millet remarque qu'en frottant de l'ambre, des corps légers (plume par exemple) sont attirés par celle-ci. En grec, elektron signifie ambre, ce qui conduira au mot électricité qui signifiait au départ le pouvoir d'attraction des corps frottés.
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La machine électrostatique de Otto Von Guericke est un globe de soufre qui peut tourner autour d'un axe pendant qu'on le frotte avec la main. Le globe est ensuite tenu verticalement par son axe et on observe des phénomènes électrostatiques : attraction puis répulsion d'une plume, crépitements, des lueurs visibles dans l'obscurité...
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Franklin attire la foudre grâce à une clé reliée à un cerf-volant. La foudre est attirée par de grande tiges métalliques placées en hauteur.
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Galvani attribue des phénomènes à une électricité animale accumulée dans le muscle de la grenouille, et qui se libérait sous forme de courant électrique lorsque le cuivre et le fer rentraient en contact.
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Elle est composée d'un empilement de disques de cuivre, de tissu imbibé d'eau salée et de zinc. Les électrons se déplacent d'un disque à l'autre en créant du courant.
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En 1838, Morse et Vail mettent ainsi au point un code de points et de tirets permettant de transmettre un texte à l’aide de séries d’impulsions du courant électrique courtes et longues. Ce code est souvent attribué à Samuel Morse, cependant cette primauté est contestée, tendant à attribuer la paternité du langage à son assistant, Alfred Vail.
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Inventé par Georges Claude
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L'Œuf électrique est un prototype concept-car futuriste de voiture électrique cyclecar de 1938, du designer industriel parisien Paul Arzens. Réalisée en 1942. Paul Arzens motorise son véhicule avec un moteur électrique alimenté par cinq batteries de 300 kg, de 12 volts et 250 Ah, situées sous la banquette, pour une vitesse de pointe de 70 km/h, et une autonomie de 100 km3.