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Il autorise la mise en place d’une nouvelle structure politique : le régime parlementaire (mais il est truqué à la faveur de la minorité anglaise du Bas-Canada).
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Elles sont des émeutes liées à la cherté du blé et à la difficulté des Caennais à s'en procurer dans un contexte de disette. Elles commencent par une bousculade à la halle au grain. Le maire et le préfet sont pris à partie par des Caennais
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Louis Joseph Papino était le chef depuis cette date.
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Un parti politique
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Les revendications pour une chambre d'assemblé vont donner lieu aux 92 résolutions envoyée au roi d'Angleterre.
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Grâce aux enjeux tels que les débats à la chambre d'assemblé et la crise agricole.
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Afin d'enquêter sur les griefs des patriotes, lord Alymer est rappelé en Grande-Bretagne et remplacé par un nouveau gouverneur, lord Gosford.
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Des jeunes radicaux anglophones ont mis sur pied le Doric Club, groupe paramilitaire dont le but est d'unir les Britanniques contre la «french domination», en recourant aux armes si nécessaire.
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Londres réagit aux 92 résolutions en refusant chacune d'entre-elles et en crée 10 nouvelles(les 10 résolutions Russell). Le gouvernement de Londres ajoute que le gouverneur qui est nommé par le roi ainsi que le conseil auront le droit de disposer comme ils veulent, de l'argent de la chambre d'assemblé ou siège de députés dont ceux du parti patriote. (La rébellion commence grâce à cet évènement)
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Les autorités britanniques proclame la loi martiale qui indique qu'elle peut être déclenchée par un gouvernement en temps de guerre. Le système juridique est alors suspendu et l'armée assure le maintien de l'ordre.
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Organisé en réaction aux résolutions Russell, L'assemblé des Six-Comtés à St-Charles cherche à boycotter(dans ce cas, cesser d'acheter des produits venant de Grande-Bretagne). Elles sont rapidement interdites par le gouverneur Gosford.
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La première confrontation, les patriotes bien que mal équipés et moins nombreux, défendent le village des assauts des troupes britanniques. C'est la seule victoire d'envergure que connaitront les patriotes.
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150 patriotes perdent la vie et 3 soldats sont tué. Papino et Nelson réussissent à s'enfuir vers les États-Unis, Papino tente de convaincre le gouvernement américain de soutenir la cause des patriotes, mais sans réussite.
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70 autres vies patriotes sont perdu durand cette pataille dont le Dr. Jean-Olivier Chénier et 118 prisoniers.
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Incluant plusieurs patriotes du Bas-Canada, dont Chevalier de Lorimier.