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L'économie du Québec était principalement basée sur le commerce du bois. Mais, l'arrivée des navires à coque d'acier remet tout en question. Il se voit alors dans l'obligation de diversifier son économie pour ne pas s'effronder.
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Le quart de la population québécoise de 1867 est constituée d'immigrants originaires de la Grande-Bretagne et de l'Irlande, tandis que les trois quarts sont d'origine française. Ceci s'explique par une vague migratoire comprise entre 1815 et 1860.
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Le Québec devient officiellement une province du Dominion et laisse dans le passé son statut de colonie.
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Selon les dires de mon père, mon grand-père serait né entre 1880 et 1887.
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Le recensement de la ville de Québec va en diminuant. Les données révèlent un ralentissement de l'évolution démographique du Québec. C'est aussi lors de ce recensement qu'on introduit les données par groupe d'âge et de sexe.
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« Le 28 juin 1886, le premier train de voyageurs quitte Montréal pour arriver à Port Moody, en Colombie-Britannique » (Chemin de fer transcanadien, Histoire du Québec). Ceci représente le début d'une aire économique prospère avec l'introduction de l'industrialisation.
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Honoré Mercier fut le premier ministre québécois a convoqué une conférence interprovinciale. Cette initiative a été prise dans le but de démontrer l'autonomie des provinces au gouvernement fédéral.
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De 1907 à 1922, le Québec connait une vague migratoire massive qui contribue à une augmentation de la population et une hausse économique due à l'industrie manufacturière.
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En 1922, des femmes telles que Marie Gérin-Lajoie et Idola Saint-Jean ainsi que 400 autres femmes se battent pour avoir le droit de vote aux élections provinciales.
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Mon père est né en 1922, en Haiti.
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Cette date a été le jour où j'ai réalisé que la vie était si fragile et si courte que chaque seconde de respiration mérite d'être profité. Je n'ai personnellement pas été une victime du séisme, mais le fait de vivre la réalité immédiate de ce catastrophe restera à jamais graver dans ma mémoire. Et jusqu'à aujourd'hui, j'essaie de me remettre de mes traumatismes.
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C'était la première fois que je quittais mon pays pour une autre destination avec la certitude que je n'allais pas revenir le lendemain ou dans une semaine. Une nouvelle vie m'attendait, sans mes amis, sans mes parents ou aucune connaissance. J'étais laissée à moi-même dans cette nouvelle aventure.
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Je suis une fille à papa ! La nouvelle de la maladie de mon père m'a achevée, mais rien à faire, il était déjà trop tard. Sa mort a été la fin d'un long chemin rempli d'épines, d'espoir, de moments de qualité et j'en passe. Il est parti et m'a laissé avec le sentiment d'être la fille la plus aimée au monde. Son présence physique n'est plus, mais son amour demeure et c'est cela qui m'a le plus marqué.
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Le monde s'est arrêté. Tout était fermé: les écoles, les épiceries, les bureaux de travail, les commerces pour ne citer que cela. Montréal, quelques jours plutôt était en vie, maintenant, les rues sont vides, même les mouches ne sortent plus. Jamais de ma vie, je n'ai vu une telle chose. J'étais prisonnière de ma maison et des informations qui circulaient à la télé.