Mercier quitte la politique, car le parti libéral ne veut pas qu’il soit candidat.
Il revient dans la politique en faisant une conférence devant les membres du parti national.
Il se présente aux élections fédérales générales, mais n’est pas élu.
Il est nommé solliciteur général dans le parti Joly et se fait ensuite élire à St-Hyacinthe.
Après plusieurs années de prises de positions au sein du parti, il succède à Joly comme chef du parti. Quelques mois plus tard, il créer le journal « le Temps ».
Mercier fait un discours après la pendaison de Riel. Il crée le Parti National.
Il organise la première conférence interprovinciale.
Mercier est assermenté premier ministre du Québec. Il veut plus d’autonomie pour le Québec.
Il est réélue pour un deuxième mandat en Gaspésie.