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Les rebelles entrent dans la ville de Kidal. Ils conquièrent la moitié Nord du Mali. Le capitaine Sanogo fait appel a une aide extérieure.
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Le Mouvement pour la libération d'Azawad proclamme l'indépendance du Nord du Mali.
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Les militaires prennent le pouvoir et s'engagent a le rendre aux civils avec l'aide de Dioncounda Traoré (président du parlement).
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Le MNLA (touaregs) et les Islamistes de Ansar Dine passent un accord pour créer un état dans le Nord. Mais, le MNLA déchire l'accord une semaine plus tard.
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Modibo Diarra (1er ministre depuis Août 2012) est arrêté car il cherchait à fuir vers la France. Django Cissoko lui succède.
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Le conseil de sécurité, à l'unanimité, autorise le déploiement d'une force militaire internationale, elle est menée par les pays Africains pour affronter les forces d'Al Qaeda dans le nord du Mali.
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Ansar Dine accuse Bamako de préparer la guerre et de ne pas vouloir sérieusement engager les accords de paix.
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Après une offensive des combattans islamistes avec la capture de la ville de Konna, Le Mali appelle la France au secours.
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Au lendemain de l'appel, les hélicoptères Francais attaquent les véhicules d'une colonne de rebelles. Un pilote Francais trouve la mort.
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Les islamistes prennent de contrôle de Diabali. L'Algérie ferme sa frontière avec le Mali.
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Reconquête de Diabali et Douentza par les forces maliennes et françaises.
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Création d'un nouveau mouvement islamiste : le Mouvement islamique de l'Azawad (MIA), suite à la scission d'Ansar Eddine.
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Libération de Gao par les forces françaises et maliennes.
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Libération de Tombouctou par les forces françaises et maliennes.
