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Dans cette époque, la traduction a consacré ses premiers concepts ; la traduction mots par mots (littéral) et du sens par sens.
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Après la mort d'Alexandrie, le grec devient la langue dominant grâce au croissance exponentielle du rayonnement de la civilisation hellénistique.
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Le premier traducteur européen est connu, le roman Livius Andronicus. Aussi, la première traduction de la Bible, la Septante, de l'hébreu en grec est réalisée par la communité de juive d'Alexandrie.
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La pierre de Rosette est un traduction de l'égyptien en grec, qui comporte un décret dans ces langues et permettra à Champillon décrypter les hiéroglyphes. -
Cicéron, dans son libre "Libellus de optimo genere oratorum", affirme qu'au moment de traduire ce n'est pas nécessaire de le faire mots par mots. D'ailleurs, il distingue deux formes de traduction :
1 - L'interpres (la traduction)
2 - L'orateur (l'adaptation) -
Malgré Saint Jérôme introduit la notion de la traduction de sens pour le sens, il aussi reconnait l'usage de la traduction littéral, qui est spécifiquement pour la traduction des textes religieux. En bref, il a fait un distinction au moment de traduire entre les textes religieux et les textes profanes.
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Le latin est devient la langue dominant, et il se trouve un exigence de littéralité au moment de traduire, un rigor pour la traduction spécialement aux textes religieux.
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Le latin est supplanté par les langues vernaculaires. Les traducteurs ont la liberté de transformer le texte original, de l'imiter et l'adapter à leur langue. Donc, il n'est pas seulement les "mots" en opposition aux "sens" au moment de traduire, mais comment ils peuvent annexer le texte original à la culture réciproque.
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La langue Française est devenu la seul langue du royaume (de France) et est aussi l'inflence principale aux langues étrangères, elle va donner des emprunts biais de la traduction.
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Le mot "traduction" est consacré par Étienne Dolet. -
Joachim du Bellay, dans le livre "Defense et illustration de la langue française", décrits, à mon avis, parfaitement la pensée de l'époque. Ici, le français est aussi riche et belle que les langues anciens, et celles, le latin et le grec, doivent se faire à son service (d'être permettre de les imiter).
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Cette période marque les traductions vers l'anglais à partir des traductions intermédiaires, esencialmente les françaises. -
La traduction de Thomas North de "Vies parallèles" de Plutarque, est un des meilleurs exemples. Il a utilisé la traduction par Jacques Amyot, fait en 1559, comme l'original.
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Ici, la traduction a comme premier plan l'esthetique, les "Belles infidèles" sont apparus, et le concept de la fidélité au texte original est à l'arrière. Néanmoins, dans cette même époque, il y a encore personnes comme Lemaistre qui dicte d'être extrêmement fidèle et littéral.
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À la fin de cette période, John Florido a fait la traduction des Essais de Montaigne où on peut voir l'enrechissement des mots. C'est pourquoi, on peut voir cette "traduction élisabéthaine" comme un introduction aux belles infidèles.
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L'Authorized Version est devenu un aspect dominant dans me monde anglo-saxon, qui est marqué par l'imposition de la Bible "autorisée" par le roi Jacques Ier. -
En France l'Academie française est crée en effet du changement des intentions (de la fidélité à l'esthetique) au moment de traduire. En plus, c'est où les traduction aussi deviennent les belles infidèles sous les trace de Malherbe et le "bon usage" de Vaugelas. -
Selon Dryden, il y a trois formes de traduction :
1- La métaphrase (la traduction littérale)
2- La paraphrase (la traduction)
3- La paraphrase (l'imitation) -
Ce le retour à la problématique entre deux traductions très différents. La première est littéral sur le point d'être étrangère (p. ex. les traduction de Mme. Dacier), et la deuxième est autant libre qu'extravagante (p. ex. les traduction de Houdar de la Motte) .
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C'est jusqu'au XVIIIème siècle où non seulement l'originalité obtient un valeur au monde littéraire, mais encore le terme plagiat devient péjoratif.
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Dans cette époque on trouve la traduction littéral et la traduction libre libre. Le traducteurs sont sommés à la fidélité et suivent des styles propres.
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À l'époque des romantiques allemands, Goethe distingue un cycle de trois types de traductions : 1- À transmettre l'oeuvre telle qu'elle est dans la langue originale.
2- Présente l'oeuvre comme s'il était composée dans la langue d'arrive (il dit la culture réceptrice).
3- La synthèse de deux précédents, elle transmettre l'information de la langue originale, mais à sa propre place de la langue d'arrive. -
C'est un siècle de traduction littéral mais qui s'oppose à l'imitation et les traductions "élégantes".
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La traduction par Chateaubriand de Paradise Lost de Molton la plus marquant de cette siècle. Elle est littéraire, mais elle n'est pas un traduction "mots à mots".
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Si bien dans ce siècle la traduction "libre" est plus important en comparaison aux antérieurs, elle est dominé par le monde anglo-saxon (qui a des normes comme donner l'impression d'être écrits dans la langue traductrice), depuis la Seconde Guerre Mondial. En revanche, l'apparition de la traductologie a donné aux experts les premiers véritables théories pour comprendre la traduction.