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Des femmes commencent à publier des articles journalistiques, des pages dites féminines, des contes, des poèmes, des courtes nouvelles et autres dans les journaux et les revues. La majorité des femmes écrivaines sont issues de la bourgeoisie.
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L'Université McGill fut la première université anglophone au Québec
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Philippe Aubert de Gaspé fils publie «L'influence d'un livre»
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Instauration de l'Acte d'Union et menace d'assimilation des Canadiens-français
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Université Bishop dans les Cantons-de-l'Est (anglophone). Aussi, puisqu'elle et l'Université McGill sont construites grâce aux capitaux des grands industriels (ex: James McGill, John Redpath et John Molson), elles disposent de plus de ressources que les université francophones.
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L'historien François-Xavier Garneau publie «l'Histoire du Canada depuis sa découverte jusqu'à nos jours»
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Le clergé catholique fonde l'Université Laval à Québec, car il craint que les Canadiens-français échappent à la morale catholique en allant étudier dans les universités anglophones ou à l'étranger.
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Exemples de littérature patriotique: «Jean Rivard, le défricheur» par Antoine Gérin-Lajoie (1862), «Les anciens Canadiens» par Philippe Aubert de Gaspé père (1863), «Le vieux soldat canadien» (1855) et «Le drapeau de Carillon» (1858) par Octave Crémazie.
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Beaucoups d'auteurs québécois se regroupent autour de ce mouvement (fondé par l'abbé Henri-Raymond Casgrain)
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Fondation de la revue «Les soirées canadiennes» par l'abbé Henri-Raymond Casgrain en collaboration avec d'autres écrivains
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Autre revue fondée par l'abbé Henri-Raymond Casgrain et d'autres écrivains. Cette revue et «Les Soirées canadiennes» aident augmenter la production de littérature grâce à des articles, des proses et des vers où il est traité de la vie et des traditions canadiennes.
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Succursale de l'Université Laval s'ouvre à Montréal. Il n'y a que quatre facultés: la théologie, les arts, la médecine et le droit. Le clergé préfère les facultés traditionnelles que les facultés modernes, car il associe celui-ci aux méfaits de l'industrialisation et de l'urbanisation
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Ce roman paru dans la Revue canadienne de Montréal est le roman le plus connu de Félicité Angers (ou de son pseudonyme Laure Conan). Celle-ci est la première femme canadienne-française de vivre de ses écrits. Elle a publié beaucoup d'autres écrits, souvent à caractère historique.
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Cette association contribuera au développement d'une littérature nationale