Numerique ecole

Chronologie des dispositifs Technologique dans les Lycées

  • Radio à l'école

  • Télévision à l'école

  • Plan Calcul en 1966

    le mot « informatique » est créé en 1962. L'informatique française se développe dans le cadre du VIe plan et du « plan calcul ». L'enseignement supérieur, la recherche, les IUT s'équipent. L'informatique progresse également dans plusieurs lycées techniques. Création du bac H (techniques informatiques). Quelques expériences très ponctuelles ont lieu dans des établissements d'enseignement général (Toulouse, Grenoble, Marly...).
  • Création de l'association EPI

  • Informatique et enseignement à l'INRDP

    Création d'une section « Informatique et Enseignement » au sein de l'INRDP, l'INRP tient un rôle majeur pour le développement de l'informatique pédagogique en France.
  • Microprocesseur/ Silicon Valley/ 2éme Plan Calcul

    Invention du microprocesseur par Ted Hoff chez Intel : le 4004 qui était un processeur 4 bits
    Janvier 1971 : première évocation de la Silicon Valley dans une série d'articles dans la revue Electronic News.
    Avril 1971 : le réseau ARPANET est constitu
    Deuxième Plan Calcul en France
  • ARPAnet

    Le concept de transfert de paquets (packet switching), qui deviendra la base du transfert de données sur Internet, était alors balbutiant dans la communication des réseaux informatiques. Les communications étaient jusqu'alors basées sur la communication par circuits électroniques, telle que celle utilisée par le réseau de téléphone, où un circuit dédié est activé lors de la communication avec un poste du réseau.
  • Opération des 58 Lycées

    De 1972 à 1976, opération de « 58 lycées » (Mitra-15 et T 1600). L'Institut National de Recherche Pédagogique expérimente et produits les premiers logiciels éducatifs. Progrès rapides de l'informatique dans l'enseignement supérieur. Succès des IUT informatiques
  • Magnétoscope

  • Plan Informatique pour tous

    L'IPT était un programme du gouvernement français qui devait permettre d'initier les 11 millions d'élèves du pays à l'outil informatique et de soutenir l'industrie nationale. Il faisait suite à plusieurs programmes d'introduction de l'informatique dans le secondaire depuis 1971. Présenté à la presse, le 25 janvier 85, par Laurent Fabius, premier ministre de l'époque. Il visait à mettre en place, plus de 120000 machines dans 50 000 établissements et à assurer la formation de 110 000 enseignents
  • 1989, L. Jospin et « la loi d'orientation sur l'éducation »

    « L'éducation est la première priorité nationale. Le service public de l'éducation est conçu et organisé en fonction des élèves et des étudiants. Il contribue à l'égalité des chances. […] Elle a pour objet de renforcer l'encadrement des élèves situés dans des zones d'environnement social défavorisé et de permettre aux élèves en difficulté de bénéficier d'actions individualisé. […] la communauté éducative rassemble les élèves et tous ceux qui participent à la formation des élèves[…] »
  • Autoroute de l'information

    Il promeut l'expression autoroutes de l'information (Information highways), comparant leur importance pour le commerce à celle des chemins de fer ou des transports routiers à d'autres époques. L'Internet existe déjà depuis plus de dix ans pour les universités et les fournisseurs militaires, mais c'est à son initiative que celui-ci atteindra directement le grand public et le commerce de détail, faisant passer au second plan les réseaux privés comme Compuserve, Prodigy ou le premier MSN.
  • Plan d’introduction des NTIC dans l'enseignement

    Claude Allègre, ministre de l’éducation nationale, de la recherche et de la technologie, et Ségolène Royal, ministre délégué à l’enseignement scolaire, présentent un plan d’introduction des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) dans l’enseignement.
  • La cartable électronique

    Les cartables numériques font l'objet actuellement de multiples déploiements plus ou moins contrôlés par des observations de leurs usages et de leurs impacts. Cette étude porte sur l'un d'entre eux, l'ESV (Établissement Scolaire Virtuel) implanté dans un lycée pilote. [...]. Elle s'intéresse aux tout premiers usages en tant que traces de la genèse instrumentale de ce dispositif, en croisant des observations didactiques auprès des enseignants et des réponses à des questionnaires adressés aux élèv
  • Création d'une délégation aux usages de l'Internet

  • ENT

    Dans l'enseignement scolaire un appel à projet dit "ENT" pour les bureaux virtuels a été lancé en 2003 : 8 projets du secondaire et 2 projets du primaire ont reçu notification de leur soutien en juillet 2003, et des modalités financières en septembre 2003. Un processus de conventionnement entre l'État, la CDC (Caisse des dépôts et consignations) et les collectivités territoriales s'est alors engagé.
  • Ordi 35

    En 2004, le département d’Ille-et-Vilaine est le troisième à se lancer dans une opération de distribution d’ordinateurs portables. Il est aussi, à ce jour, le derniere à l’avoir fait. Chaque année depuis, les élèves de troisième reçoivent un ordinateur portable (Toshiba), une sacoche et une clé USB; ils rendent ces matériels en juin afin que les machines soient reconfigurées et révisées avant d’être redistribuées en septembre aux nouveaux élèves de troisième.
    CE FUT UN ECHEC
  • 2005, François Fillon et « la loi d'orientation pour l'avenir de l'école »

    C'est la première fois, depuis les lois scolaires de Jules Ferry en 1882, que la République indique le contenu impératif de la scolarité obligatoire. Ce socle constitue la référence pour la rédaction des programmes d'enseignement de l'école et du collège. Il présente l'ensemble des valeurs, des savoirs, des langages et des pratiques dont la maîtrise assure à chacun le succès scolaire, l'ouverture vers une formation complémentaire et vers un avenir personnel et professionnel réussi.
  • Réforme du lycée, de X. Darcos à L. Chatel

    trois objectifs : mieux orienter, mieux accompagner chaque lycéen, adapter le lycée à son époque.
    Cette réforme répond de manière plus étroite et diversifiée aux besoins des élèves. Elle permet une plus grande fluidité dans les parcours et des corrections des choix d'orientation. Dans ce but, elle introduit un accompagnement personnalisé pour tous, le tutorat et des stages. Les établissements disposent d'une marge de manœuvre accrue pour l'organisation de ces dispositifs.