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Expansion des coopérative agricoles dans l’Ouest Canadien
Les fermiers s’unissent pour créer des coopératives afin de vendre leur production en groupe, ce qui leur donne plus de pouvoir et de stabilité face aux grandes compagnies. Cette organisation collective aide à mieux gérer la production, mais reste encore à petite échelle, avant la montée de l’agriculture industrielle. -
Le gouvernement fédéral crée le Canadian National Grain Office pour réguler la vente des grains
Le gouvernement commence à intervenir pour organiser la vente du blé, ce qui montre une première tentative de rendre le système agricole plus efficace et plus contrôlé. C’est une étape importante vers une agriculture plus organisée, mais la durabilité à long terme n’est pas encore une priorité. -
Introduction plus large des engrais chimiques et de la mécanisation dans les prairies
C’est un grand tournant : les machines et les produits chimiques augmentent rapidement la production agriole. Cela permet de nourrir plus de gens, mais crée aussi une dépendance à la technologie et aux produits artificiels, ce qui soulèves plus tard des questions sur l’impact environnemental. -
Développement du silo à grain moderne pour faciliter le stockage à grande échelle.
Les silos permettent aux producteurs de conserver leurs récoltes plus longtemps et de mieux géerer l’offre. Cette innovation technique rend l’agriculture plus efficace, mais elle accompagne un système qui mise surtout sur la quantité, pas toujours sur la qualité ni la durabilité. -
Lancement des premières campagnes de sensibilisation à la nutrition par le gouvernement canadien.
Alors que la production augmente, le gouverneent commence à réfléchir à ce que les gens mangent vraiment. On voit ici un lien entre la production industrielle de nourriture et les besoins réels de populations, ce qui ouvre une réflexion sur l’équilibre entre quantité et santé. -
Krach boursier
La dépendance aux marchés mondiaux devient un problème pour les agriculteurs, même avec les méthodes industrielles. Cela montre que produire plus ne garantit pas la stabilité ou la sécurité alimentaire si le système économique est fragile. -
Début de la Grande Crise des Prairies
Les méthodes industrielles comme la monoculture et le labour intensif ont appauvri les sols. Quand la sécheresse frappe, tout s’effondre. C’est un exemple clair des limites de l’agriculture industrielle quand elle ne respecte pas l'environnement. -
Création du Canadian Wheat Board
Pour répondre ;a la crise, le gouvernement met en place un système de régulation pour protéger les producteurs. Cela montre que l'agriculture industrielle a besoin de soutien politique pour rester stable, mais que seule, elle ne garantit pas la durabilité. -
Le gouvernement met en place des programmes de secours alimentaires pour les familles touchées par la crise.
Même avec des méthodes industrielles, certaines familles n’arrivent pas à se nourrir. L’État doit intervenir pour combler les manques, ce qui montre que produire beaucoup ne veut pas toujours dire nourrir tout le monde. -
Début de la Seconde Guerre mondiale L’agriculture industrielle canadienne est mobilisée pour soutenir l’effort de guerre.
La production augmente fortement grâce aux machines et à l’organisation industrielle. Cela prouve que ces méthodes peuvent répondre à une forte demande rapidement, mais la priorité est la quantité, pas forcément la durabilité ou la santé à long terme. -
Début de l’utilisation à grande échelle d’engrais chimiques et de pesticides
L’agriculture commence à s'appuyer fortement sur les produits chimiques pour augmenter les rendements. Cette innovation augmente la production, mais provoque des premières inquiétudes sur les effets à long terme sur la santé et l’environnement. -
Fin de la Seconde Guerre mondiale : modernisation de l’agriculture dans les pays industrialisés
Les pays industrialisés investissent massivement dans l’agriculture : machine, engrais, nouvelles techniques. Objectif : nourrir les populations en croissance rapide, reconstruire les économies d’après-guerre. -
Lancement de la révolution de verte
Introduction de semence à haut rendement, surtout en Asie et en Amérique latine
Objectif : augmenter la production pour lutter contre la faim, mais au prix d’une dépendance accrue aux intrants chimiques. -
Mécanisation des fermes
Remplacement progressif du travail manuel par des machines agricoles (tracteurs, moissonneuses)
Gain de productivité, mais marginalisation des petits agriculteurs qui ne peuvent pas investir. -
Expansion des monocultures à grande échelle
Culture spécialisée sur les vastes surface pour maximiser les rendements (ex : maïs, blé)
Fragilité écologique accrue : perte de biodiversité, besoin croissant en pesticides et engrais -
Modélisation des rendements agricoles
Apparition des premières prédictions informatisées. Début de l’utilisation d'ordinateurs pour prévoir les rendements agricoles grâce à des données météorologiques, solaires et techniques.
Ces premières prédictions informatisées permettent de mieux planifier la production, mais marquent aussi une dépendance croissante à la technologie. -
Rapport du club de Rome
Critique de la croissance agricole illimitée
Ce rapport souligne les risques de l’épuisement des ressources naturelles et les dommages environnementaux. Les limites de la croissance économique et agricole illimitée. -
Première crise pétrolière
Hausse du coût des intrants agricole (engrais, transport). Le prix du pétrole explose entraînant une forte augmentation des coûts des intrants agricoles.(engrais, transport, carburant). Cette hausse rend l’agriculture industrielle plus coûteuse, révélant sa dépendance aux ressources fossiles et soulignant sa vulnérabilité économique -
Bilan contrasté : hausse des rendements, mais problèmes environnementaux ( pollution, appauvrissement des sols).
L’agriculture industrielle a permis une forte hausse des rendements alimentaires dans de nombreux pays. Mais elle a aussi provoqué de graves problèmes environnementaux : pollution des sols et des eaux, appauvrissement de la biodiversité, érosion des terres. -
Première plante génétiquement modifiée au Canada
C’est la première fois qu'on change l'ADN d'une plante pour qu'elle pousse mieux. C'est le début de l'agriculture industrielle avec les OMG. ça l'aide à produire plus de nourriture pour un plus grand échec de population mais on ne sait pas encore si c'est bon pour la plante ou le corps humain. -
Approbation de la tomate Flavr Savr
C’est la première tomate OGM qu'on peut vendre. Elle reste fraîche plus longtemps. C'est utile pour avoir moins de gaspillage, mais certaine sinquetent que ce soit trop contrôlé par les grosses compagnies. Ceci a aussi aidé avec la réduction dans le garage et l'agriculteur plus la consommation. -
Première récolte d’OGM au Canada
Les OGM sont utilisés dans les champs. ça permet de produire plus et plus vite. C'est bon pour nourrir une plus grande échelle de population mais il y a des risques pour l'environnement et la santé de soins nous et les éco système. -
Naissance du mouvement LOCAVORE (consommer local)
Ce mouvement encourage à manger et consommer des produits locaux. C'est dans un but mieux pour l'environnement et aide les petite productrice et marche, mais cela ne suffit pas à nourrir tout le monde sur la planète. -
Insécurité alimentaire des ménages au Canada
Même avec plein de nourriture, beaucoup de familles n'ont pas assez à manger. Donc, produire en grande masse ne suffit pas, il faut aussi que la nourriture soit bien partagée. Mais durant ces années il a eu des augmentations dans les prix due à une insécurité alimentaire. -
Meilleures pratiques agricoles pour le climat
On essaie d'améliorer l’agriculture pour qu'elle respecte plus la planète. C’est une réponse aux limites de l'agriculture industrielle classique. un nouveau chapitre. Lancement du programme Solutions agricoles pour le climat (ACS) par le gouvernement canadien, avec un investissement de 185 millions de dollars pour promouvoir des pratiques agricoles durables. -
Agriculture intelligente face au climat
Génome Canada, investissant 30 millions de dollars dans la recherche en génomique pour réduire l'empreinte carbone de l'agriculture canadienne. On utilise la technologie par exemple des captures de données pour mieux cultiver. C'est une façon moderne et plus durable de produire de la nourriture. Ceci fait que les cultivateur ont plus de récolte fraîche et écologique dû à une meilleure compréhension de leur champ. -
Viande cultivée en laboratoire
On crée de la viande sans animaux. Ça pourrait aider à nourrir plus de gens sans polluer autant que l'élevage traditionnel. Mais ceci fait poser des question a une grande masse de la population surtout avec les nutriments et qualité de la viande. -
Investissement dans l’agriculture et ça recherche
Le gouvernement met de l’argent pour trouver de meilleure façon de cultiver. On veut que l'agriculture industrielle devienne plus écologique. Donc, le Canada investit 550 millions de dollars dans des programmes d'agriculture intelligente face au climat. -
Un investissement stratégique pour une agriculture intelligente face au climat
Les décisions récentes montrent qu'on veut rendre l’agriculture plus technologique et respectueuse de la planète. C'est une façon de produire durablement pour nourrir tout le monde mais aussi garder notre plante saine. D'abor. Lancement d'un projet de 4 millions de dollars par l'Alliance canadienne pour une agriculture et une alimentation carboneutres (CANZA