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PM: René Lévesque Le référendum de 1980 oppose les souverainiste (le camps du Oui) et les fédéraliste (le camps du Non). Le premier Ministre du Qc, René Lévesque, veut l’indépendance politique, économique, culturel et social du Québec. Cependant, tout ne vas pas comme il l'aurait souhaité. Le résultat du référendum n'est pas en la faveur de l'indépendance du Qc avec 59.6% des voix en qui sont du coté du camp du Non. Résultat: Rejeté
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PM: René Lévesque Une des trahisons qu'à commis le gouvernement fédéral envers le Québec est le rapatriement de la Constitution. En effet cela c'était fait sans l'accord, ni la consultation du gouvernement du Quebec à ce sujet. Au final la constitution à été modifié et diminue les pouvoirs du Québec en matière de linguistique, entre autres.
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PM: Robert Bourassa Cette tentative de réintégrer le Quebec dans la constitution à été un échec. Le premier ministre du Québec, Robert Bourassa, avait poser certaines conditions, mais les province du Manitoba et de Terre-Neuve n'ont pas approuvé cette accord. Suite à cette tentative, la nationalisme au Quebec fait une remontée. Résultat: Échec
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PM: Robert Bourassa Ce document dénonce les agissements du gouvernement fédéral. Le gouvernement fédéral empiète sur les pouvoirs des provinces qui auraient, au départ, dû avoir plus d'autonomie. Dans ce rapport, on propose que d'accorder au fédéral des pouvoirs tels que ceux lié a la gestion des douanes, à la défense et à la monnaie.
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PM: Robert Bourassa Cet accord résulte en un référendum en 1992. La population canadienne rejette cette entente et beaucoup pense que les demandes du Quebec sont excessives. Résultat: Rejeté
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PM: Jacques Parizeau Ce référendum oppose (encore) le camp du Oui et le camps du Non. Les avis sont cependant plus partagé que la dernière fois puisque le "oui" obtient 49,4%. Certain Résultat: Rejeté
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PM: Martin Paul La corruption au sain de Parti libéral à été exposer au yeux de tous lorsque Paul Martin met en place un commission d’enquête. Le principal responsable, Charles Guité est alors condamné à 42 mois de prisons. De plus, la perte de confiance de la population envers le parti libéral fédéral fait en sorte que Stephen Harper devient premier ministre.
