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Henri Ier établit un diplôme de fondation et de sauvegarde du monastère
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Abbaye soeur de Sainte Geneviève
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1060 : l'église est achevée et est dédicacée. Le roi Philippe confirme les domaines donnés par Henri Ier. En parallèle, un marché est créé sur le territoire du monastère (dont la moitié des revenus est donné à Saint Martin)
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Le transfert comprend l'église et le domaine de l'abbé pécédent
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Saint Martin des champs se constitue un véritable domaine grâce aux dons de terres, églises et taxes. Le prieuré en profite pour se développer en créant des prieurés qui lui dépendent
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Suivra ensuite la création d'un prieuré
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L'abbé peut dorénavant utiliser à certains moments de l'année les ornement épiscopaux.
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Ce droit avait été donné en 1108 pour les serfs de Notre Dame de Paris et en 1109 pour ceux de Sainte Geneviève
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Saint Denis de la Châtre était auparavant dans le domaine du roi et est échangé contre l'église de Montmartre
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Les dons au prieuré Saint Martin diminuent. En revanche les dépendances des prieurés liées à Saint Martin se développent
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Le prêtre souhaitait cesser de donner la moitié des offrandes et des produits de son église à Saint Martin des Champs
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Paris se rapproche de plus en plus de Saint Martin et les églises du centre ville dans le domaine du prieuré grandissent. En parallèle, le prieuré continue à acheter des maisons en ville
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Cette décision est prise suite à un arbitrage délégué par le prieur de Saint Martin et le curé de Saint Nicolas des champs
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La population dans le faubourg étant devenue plus importante, l'ancien cimetière est devenu trop petit
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En conseil, Louis IX fait constater le droit de Saint Martin pour la justice à Noisy le Grand
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Cet achat permet d'aggrandir la chapelle initiale. La place est vendue par Nicolas Arrode et nécessitel'accord de Louis IX car elle était sur le territoire de la couronne (contrairement à la chapelle dépendant de Saint Martin)