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Le premier ministre, Wilfred Laurier, essaie de concilier les positions des impérialistes et des nationalistes canadiens-français en adoptant une politique de compromis: il appuie la participation du Canada à la guerre, mais n'impose pas la conscription. Seul les volontaires, dont plusieurs sont des impérialistes sont envoyés au front.
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Le Royaume-Uni demande à ses Dominions de contribuer à renforcer sa marine avec de l'aide financière. Il est convenu que la marine canadienne sera sous les ordres du gouvernement canadien, mais appuiera le Royaume-Uni en cas de conflit.
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L'adoption de la loi de la conscription soulève des protestation et des émeutes au Québec. Henri Bourassa et même Wilfred Laurier (chef de l'opposition) s'opposent à la conscription.
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La présence plus importante des femmes sur le marché du travail et la participation à l'effort de guerre du Canada favorise l'obotention du droit de vote au fédéral pour les femmes. En 1918, le droit de vote est accordé à toutes les femmes de 21 ans et plus.
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Arthur Balfour, un ancien premier ministre du Royaume-Uni, reçoit la tâche d'étudier la question par rapport à l'autonomie du Canada et des autres Dominions à l'égard du Royaume-Uni. La même année, il publie le rapport Balfour qui propose uine reconnaissamce formelle de l'autonomie des dominions. Cette reconnaissance permettrait aux dominions d'entrentenir des rappotrs d'égal avec le Royaume-Uni et tous les autres pays.
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En 1931, le Parlement Britannique s'inspire du rapport Balfour et adopte une loi qui prend le nom de Statu de Westminster. Cette loi accorde au Canada une autonomie quai complète. Seule la modification de la Constitution nécessite encore l'intervention du Parlement britannique.