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Inondations Tours
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Le pont d'Amboise heurte le pont de Tours
Un froid intense se fait sentir dans le courant de l’hiver de 1788-1789. Les vignes et de nombreux arbres sont gelés. Les glaces de la Loire atteignent une épaisseur de 18 pouces et s’accumulent contre le pont Wilson jusqu’à une hauteur de 30 pieds. Emporté, le pont d’Amboise heurte le pont de pierre le 25 janvier et renverse quatre arches du côté de Saint-Symphorien. Les moulins étant arrêtés par les glaces, une disette de pain se produit. -
Nouvelle crue à 5,07 mètres
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Crue extraordinaire à 6,20 mètres
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La Loire monte à 5,47 mètres
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Le boulevard Heurteloup recouvert par 50 centimètres d'eau
En octobre 1846, une inondation importante touche la ville. La crue atteint son plus haut niveau le 23 octobre à 7,17 mètres. Les rues basses, les quais et même le boulevard Heurteloup sont recouverts par 50 centimètres d’eau au minimum. A la suite de cette inondation, des travaux considérables sont engagés afin de surélever les quais. Mais ces travaux n’étaient pas terminés en juin 1856, lorsque survient la plus forte crue qu’ait jamais connu Tours. -
Napoléon III auprès des sinistrés après la plus grande crue connue à Tours
Dans la nuit du 3 au 4 juin, la Loire ouvre une large brèche dans la levée et se réunit avec le Cher. Elle rompt la gare du canal du côté de Saint-Pierre-des-Corps et envahit la ville. Le pont de la ligne de Nantes situé avenue de Grammont (submergée par 4,50 mètres d'eau) est emporté et le pont de Saint-Symphorien a de la peine à résister. La Loire monte jusqu’à 7,58 mètres, c'est la plus grande crue connue à Tours. Napoléon III fait le déplacement auprès des sinistrés et engage des travaux. -
Les travaux n'empêchent pas la panique
Les pluies persistantes créent une nouvelle crue de la Loire qui rompt la levée au-dessous de Conneuil le 23 septembre et inonde les communes de la Ville-aux-Dames et de Saint-Pierre-des-Corps. Même si l’eau s’élève le 28 septembre à 6,59 mètres, Tours est épargnée. Les travaux effectués à l’instigation de Napoléon III sont efficaces : la ville ne souffre que d’infiltration à l’extrémité sud du canal. Mais cela n’empêche pas la panique et de nombreux habitants déménagent vers la Tranchée. -
5,69 mètres de hauteur d'eau
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La crue du siècle à Tours
En 1907, la Loire inonde à nouveau la ville. A 11 h, elle atteint 5,60 mètres sous le pont Wilson. Malgré la force des flots, aucune digue ne cède, limitant les zones inondées aux environs des bords de Loire. Au nord, l’eau avance jusqu’au quai Paul-Bert et au bourg Saint-Symphorien. La rue Nationale se retrouve les pieds dans l’eau. Cette crue, la plus forte qu’ait connu Tours au XXe siècle, fait l’objet d’un reportage de la part des éditeurs de cartes postales.
© Archives municipales de Tours -
Tours à nouveau sous les eaux
Tours est sous les eaux pendant un mois. La Loire déborde pour rejoindre, au niveau du parc des Prébendes, l’ancien ruisseau asséché de l’Archevêque. Le Cher, lui, sort de son lit avec violence du 21 au 31 janvier puis du 8 au 14 février. La rivière en furie inonde tous les quartiers situés à l’est des voies ferrées autour de la Fuye entre la Rotonde du Sanitas et la place Velpeau. Le Cher malmène encore la ville et le vélodrome (photo) du 17 au 23 novembre.
© Archives municipales de Tours -
Montée des eaux à 3,34 mètres
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La Loire monte à 3,82 mètres
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Une crue de 3,18 mètres
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Après les intempéries meutrières dans le sud, la Loire déborde
Le 6 décembre 2003, les régions du sud, sinistrées par des intempéries qui ont causé la mort de sept personnes, connaissent un lent retour à la normale. Au même moment, la station de Tours est mise en alerte : une crue de la Loire est imminente. Les communes d’Ambroise, Vouvray, Tours, La Riche, Villandry et Savonnières prennent des mesures préventives, les parkings en bord de fleuves sont notamment évacués. La Loire atteint 3,40 mètres et inonde l’île Aucard.
© Archives municipales de Tours -
La crue à Tours vue par France 2
<a href='http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=k1wfC4Q40Ak#t=480s' target="_blank">La vidéo ici</a> -
Une inondation tombée du ciel
Point de montée subite de la Loire ou du Cher en ce mois de septembre 2010. Mais plus de 50 mm de pluie en quelques heures, soit l'équivalent d'un mois de précipitations. De quoi inonder des caves et quelques habitations dans le quartier des Prébendes. Et au total, plus de 400 interventions pour les pompiers de Tours. Autres victimes : l'aéroport de Tours dont le trafic a dû être interrompu et la gare de Saint-Pierre-des-Corps.
©2012 www.AbodeofChaos.org -
La gare les pieds dans l'eau (reportage TV Tours)
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