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La guerre Bourgogne-Savoie débute le 24 décembre 1498 et se termine le 26 avril 1502, à la suite d’une série de campagnes militaires et de traités. La guerre opposa le duché de Bourgogne (comprenant le Brabant) et le royaume de Bohême (comprenant la Pologne et la Hongrie) au duché de Savoie (y compris Genève), au duché de Bretagne, au comté de Bourbonnais, à la république de Lucques, à la république de Florence et aux Trois Ligues.
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Le 23 décembre 1500, Jan Jiri Ier, roi de Bohême, de Hongrie et de Pologne, épousa Anežka de Silésie (1476-1555), fille du duc Albert Nostitz. Le mariage était une alliance politique importante, car il a uni deux familles influentes dans la région et a contribué à renforcer la position de Jan Jiri en Silésie, ce qui était essentiel à ses aspirations politiques. De cette union naquit:
Vaclav 25 décembre 1500 -
Jan Jiri Ier, surnommé Jan Jiri le Puissant, est né le 3 mars 1478 à Prague et mort le 16 janvier 1521 à Neszmély, en Hongrie. Il était le fils du roi Vaclav V de Bohême et d’Élisabeth de Hongrie, et monta sur les trônes de Pologne, de Hongrie et de Bohême à la mort de son père. Jan Jiri épousa Anežka de Silésie, la fille du duc Albert Nostitz, qu’il soutint pendant les croisades contre les catholiques du Saint-Empire romain germanique.
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Le traité de Lons-le-Saunier, signé le 26 avril 1502, marque la fin de la guerre de Bourgogne-Savoie et officialise les termes de la paix entre les belligérants. Selon les termes du traité, le duché de Bourgogne se voit attribuer les provinces du Bourbonnais, de Genève, de la Savoie, du canton de Vaud et du Valais, étendant considérablement son influence territoriale et consolidant davantage sa position de grande puissance européenne.
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La guerre de Bohême-Brandebourg a commencé le 7 novembre 1502 et s’est terminée le 2 janvier 1506, après près de trois ans de conflit. La guerre opposa le royaume de Bohême (qui comprenait la Pologne et la Hongrie à l’époque), le duché de Bourgogne (y compris le Brabant), le duché de Milan et le comté de Palatinat au duché de Brandebourg, au comté de Mecklembourg, à la ville de Hambourg et au comté de Hesse.
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Le 15 août 1505, l’émergence du protestantisme a marqué un changement significatif dans la pensée religieuse en Europe. Le mécontentement croissant à l’égard de l’Église catholique, stimulé par la corruption croissante parmi les clergés et les moines, a conduit à un mécontentement généralisé à l’égard des pratiques religieuses. Un moine de Memmingen, qui prône cette hérésie, a ouvertement exprimé son mécontentement de l’Église, ouvrant la porte à une potentielle réforme de la foi.
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La guerre de Stettin-Brandebourg a commencé le 10 octobre 1505 et s’est poursuivie jusqu’au 29 novembre 1507. Ce conflit opposait le duché de Brandebourg, le comté de Mecklembourg et le comté de Hesse au comté de Stettin, au comté d’Anhalt et au comté d’Ansbach. Le royaume de Bohême (qui englobait alors la Pologne et la Hongrie) entra en guerre le 2 janvier 1606, à la suite du traité de Berlin, entrant dans le conflit aux côtés du duché de Brandebourg.
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Le traité de Berlin, signé le 2 janvier 1506, mit fin à la guerre de Bohême-Brandebourg et, par conséquent, le comté de Hesse, Hambourg et le comté de Mecklembourg furent convertis au hussitisme. De plus, le duché de Brandebourg se soumit à l’autorité de la Bohême, devenant un État vassal, étendant encore l’influence du royaume de Bohême sur les territoires allemands.
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Le traité de Stettin, signé le 29 novembre 1507, marque la fin des hostilités de la guerre de Stettin-Brandebourg. Dans le cadre des termes du traité, les comtés d’Ansbach, d’Anhalt et de Stettin devaient se convertir au hussitisme, un changement religieux important dans la région, reflétant l’influence croissante du mouvement hussite.
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Le 6 août 1508, le royaume de Bohême (qui comprenait à l’époque la Pologne et la Hongrie) a formé une alliance avec l’Empire ottoman. Cette alliance a marqué un changement significatif dans le paysage politique de la région, réunissant deux entités puissantes dans un partenariat stratégique. L’alliance visait à renforcer la position de la Couronne de Bohême et à contrer l’influence d’autres puissances régionales, en particulier dans le contexte des conflits et des tensions géopolitiques en cours
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La guerre de Bohême-Saxe a commencé le 9 mai 1509 et a duré jusqu’au 2 janvier 1513, opposant le royaume de Bohême (qui comprenait la Pologne, la Hongrie et le Brandebourg) au duché de Bourgogne (y compris le Brabant), au duché de Milan et au comté de Palatinat, d’un côté, et au duché de Saxe, le comté d'Anhalt, la ville de Brême, le comté de Brunswick (Lunebourg), le comté de Mecklembourg, le comté d'Oldenbourg, le comté de Gueldre et l'évêché de Wurtzbourg, de l'autre.
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Le traité d’Erfurt, signé le 2 janvier 1513, mit fin à la guerre de Bohême-Saxe.
Dans le cadre des termes du traité, le diocèse de Wurtzbourg, le comté de Gueldre, le comté d’Oldenbourg et la ville de Brême ont été obligés de se convertir au hussitisme, marquant un changement religieux important dans l’équilibre régional des pouvoirs.
De plus, le duché de Saxe est devenu vassal du royaume de Bohême, renforçant encore l’influence de la Bohême dans la région. -
Le 2 janvier 1513, à la suite du traité d’Erfurt, qui a mis fin à la guerre de Bohême-Saxe, le roi Jan Jiri Ier a formalisé son autorité sur le duché de Brandebourg en le transformant en marche. Cette décision a cimenté le statut du duché de Brandebourg en tant qu’entité semi-indépendante sous l’autorité directe du royaume de Bohême, renforçant le pouvoir et l’influence de la couronne de Bohême en Europe centrale.
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Le 30 octobre 1520, les graines du calvinisme ont commencé à prendre racine alors que la Réforme protestante se répandait dans toute l’Europe comme une traînée de poudre. Divers mouvements avaient déjà émergé, proposant des voies alternatives pour réformer la foi chrétienne, et un prêtre de Münster avait pris de l’importance au sein de la pensée réformiste émergente connue sous le nom d’école de pensée calviniste.
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Le 16 janvier 1521, Vaclav VI, roi de Bohême, de Hongrie et de Pologne, épousa Ludmila de Wroclaw (née en 1495-1561) lors d’une grande cérémonie. Leur mariage a donné naissance à une progéniture :
Jaromir (1521-1543)
Jindrich (1545-1553) -
Vaclav VI, né le 25 décembre 1500 et mort le 9 janvier 1553 à Prague, était un membre de la dynastie Podebrady et le fils du roi Jan Jiri Ier de Bohême et de la reine Anezka de Silésie. Il monta sur les trônes de Bohême, de Hongrie et de Pologne en 1521 et régna jusqu’à sa mort. Il était connu pour ses efforts visant à renforcer le pouvoir de la monarchie de Bohême et à maintenir son influence en Europe centrale. Sous son règne, la Bohême connut une période de prospérité économique et culturelle
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Le 30 octobre 1525, le royaume de Pologne soumit une demande formelle d’adhésion au Saint-Empire romain germanique. Cette proposition, si elle était acceptée, aurait des implications importantes pour le royaume polonais et l’Empire lui-même, car elle étendrait la portée politique et territoriale de l’Empire et pourrait amener le grand et influent royaume de Pologne sous la bannière impériale.
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La guerre de Bohême-Munich, qui commença le 8 septembre 1531 et culmina le 7 novembre 1534, vit le royaume de Bohême (la Pologne, Saxe et Brandebourg), le duché de Bourgogne, l’Empire ottoman, le duché de Milan et le comté de Palatinat s’opposer au comté de Munich, à l’archidiocèse d’Augsbourg, à l’archevêché de Salzbourg, au comté de Saxe-Lauenbourg, à Nuremberg, à Memmingen, au Saint-Empire romain germanique (Autriche), Diocèse de Trente, comté d’Anhalt, comté de Verden et duché de Wolgast.
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Le siège de Nuremberg, qui a commencé le 6 mars 1532 et s’est terminé le 6 février 1533, est un engagement militaire initié par le royaume de Bohême pendant la guerre Bohême-Munich.
Ce siège prolongé de 11 mois visait à capturer la ville de Nuremberg, qui s’est finalement soldé par la reddition de la ville aux Bohémiens. Le succès de ce siège renforça encore la position du royaume de Bohême dans la région pendant la période tumultueuse de la guerre des paysans allemands. -
Le siège de Straubing, qui a commencé le 8 mars 1532 et s’est terminé le 5 octobre 1532, est un conflit militaire initié par le royaume de Bohême pendant la guerre Bohême-Munich. Il en résulta la reddition de la ville de Straubing aux forces bohémiennes après près de huit mois de siège. Cette victoire a marqué un événement important dans la guerre Bohême-Munich et a démontré le pouvoir croissant de la monarchie de Bohême en Europe centrale.
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Le siège d’Augsbourg, qui a commencé le 2 octobre 1532 et s’est terminé le 1er avril 1533, était un engagement militaire mené par le royaume de Bohême dans le contexte de la guerre Bohême-Munich. Le siège visait à capturer la ville d’Augsbourg, qui s’est finalement rendue aux forces bohémiennes après une période de près de six mois.
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Le siège de Salzbourg, initié par le royaume de Bohême le 16 novembre 1532 et qui a duré jusqu’au 16 avril 1533, est une campagne militaire importante pendant la guerre Bohême-Munich. Le long siège visait à capturer la ville de Salzbourg, qui a finalement capitulé devant les forces bohémiennes. Cette victoire renforce l’influence et la puissance du royaume de Bohême dans la région pendant une période turbulente marquée par la guerre des paysans allemands.
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Le siège de Trente, initié par le royaume de Bohême le 13 septembre 1533 et qui dura jusqu’au 20 avril 1534, fut un engagement militaire important de la guerre Bohême-Munich. Au cours de ce siège de près de huit mois, la Bohême visait à capturer la ville de Trente, qui a finalement capitulé devant les forces bohémiennes. Ce siège a marqué une réalisation importante pour le royaume de Bohême et a consolidé davantage son pouvoir et son influence dans la région.
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Le 7 novembre 1534, le traité de Munich est signé, par lequel Vaclav VI reçoit la province de Vienne à la suite de sa victoire sur Ferdinand II d’Autriche, qui est humilié par les conditions. En conséquence, plusieurs régions et territoires, dont le comté d’Anhalt, l’archevêché d’Augsbourg, l’archidiocèse de Salzbourg, le diocèse de Verden, le comté de Saxe-Lauenburg, l’archevêché de Trente, le comté de Munich, Nuremberg et Memmingen ont été convertis au hussitisme selon les termes du traité.
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La guerre de la ligue des Hussites débuta le 25 janvier 1535 pour finir le 9 février 1539. Cette guerre vu s’affronter le royaume de Bohême (Pologne, Saxe et Brandebourg), le duché de Bourgogne, l’empire Ottomans, le duché de Milan et le comté du Palatinat contre la ville impérial de Goslar, la ligue hanséatique, l'Autriche, des états allemands (Dortmund, Bade, Hesse, Lunebourg, Berg, Munich, Augsbourg), des états italiens (Gênes, Trente, Naples et Saluces), l’Angleterre et la Bretagne.
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Le siège de Goslar, initié par le royaume de Bohême le 14 février 1535 et qui a duré jusqu’au 5 juillet 1535, était une opération militaire pendant la guerre de la ligue des Hussites. Les forces bohémiennes visèrent à capturer la ville, qui succomba finalement au siège et se rendit à l’armée bohémienne après six mois.
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Le siège de Brunswick, mené par le royaume de Bohême du 19 février 1535 au 27 octobre 1535, est une opération militaire importante pendant la guerre de la ligue des Hussites. Au cours de ce siège, les forces bohémiennes cherchèrent à capturer la ville de Brunswick, qui succomba au siège et finit par se rendre aux Bohémiens après près de neuf mois.
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Le siège de Lunebourg, qui a eu lieu pendant la guerre de la Ligue hussite, a commencé le 25 février 1535 et s’est terminé le 1er mai 1536. Au cours de ce siège prolongé, les forces bohémiennes assiégèrent la ville de Lunebourg, qui finit par se rendre après plus d'un ans. Ce siège représente un événement important dans le contexte plus large de la guerre de la Ligue hussite, reflétant les conflits religieux et politiques en cours à cette époque.
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Le siège de Francfort, qui a eu lieu pendant la guerre de la Ligue hussite, a commencé le 24 octobre 1535 et s’est terminé le 14 juin 1536. Dans ce siège prolongé, les forces hussites, qui comprenaient probablement des éléments du royaume de Bohême, assiégèrent la ville fortifiée de Francfort, qui finit par succomber au siège après huit mois.
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Le siège de Cassel est une opération militaire qui s’est déroulée pendant la guerre de la Ligue hussite, qui a commencé le 5 novembre 1535 et s’est terminée le 7 novembre 1536. Ce siège prolongé vit les forces hussites, qui contenaient probablement des forces du royaume de Bohême, assiéger la ville de Cassel. Après 366 jours, la ville a finalement capitulé devant les assiégeants, marquant un épisode important dans le contexte plus large de la guerre de la Ligue hussite.
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Le siège de Bolzano est une opération militaire de la guerre de la Ligue hussite qui a commencé le 23 juillet 1536 et s’est terminée le 1er août 1537. Bolzano a été soumise à un siège prolongé par les forces bohémiennes. La résistance de la ville s’est finalement rendu après un an de siège, culminant avec la reddition de la ville aux assiégeants. Cet événement revêt une importance dans le contexte plus large de la guerre de la Ligue hussite, reflétant les tensions et les conflits de cette époque
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Le 6 septembre 1536, un groupe de séparatistes serbes organisa une rébellion à Belgrade, marquant un événement important dans l’histoire tumultueuse de la région. Le soulèvement a déclenché une instabilité politique et mis en évidence les tensions latentes entre les différents groupes ethniques de la région. Il a servi de reflet de l’agitation sociale et politique plus large qui a persisté dans diverses parties du monde pendant cette période.
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Le 5 mars 1537, un groupe de séparatistes croates a lancé une rébellion dans la ville de Bjelovar, motivé par leur désir d’indépendance de la Croatie. Cet acte de rébellion a probablement été influencé par une combinaison de facteurs, notamment les aspirations politiques, l’identité culturelle et peut-être les griefs économiques ou sociaux.
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Le siège de Nantes est une opération militaire qui a eu lieu pendant la guerre de la Ligue hussite, commençant le 28 janvier 1538 et culminant le 29 octobre 1538. Ce siège prolongé vit les forces hussites, probablement dirigées par des éléments du royaume de Bohême, assiéger la ville de Nantes. Après près de dix mois de résistance, la ville a finalement succombé à l’armée hussite, marquant ainsi un épisode important dans le contexte plus large de la guerre de la Ligue hussite.
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Le 1er septembre 1538, Vaclav VI assume officiellement le rôle de défenseur de la foi hussite. Cette désignation a marqué une étape importante dans le paysage religieux d’Europe centrale, car le roi s’est engagé à sauvegarder les croyances hussites, qui étaient en conflit avec le catholicisme prédominant de l’époque. La déclaration du royaume de Bohême en tant que défenseur de la foi hussite a eu des implications profondes pour la tolérance religieuse et la coexistence.
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Le traité de Prague, signé le 9 février 1539, a conduit Vaclav VI à recevoir les provinces de Traungau, Ob der Enns, Manhartsberg et Weanawoid.
En outre, le royaume de Naples, le comté de Baden, la ville libre de Lübeck, le comté de Berg, la ville impériale de Goslar, Francfort et Dortmund se sont convertis au hussitisme.
De plus, la principauté de Calemberg a obtenu un statut indépendant. Enfin, le duché de Provence se voit accorder le comté d’Anjou à la suite du traité. -
La guerre de Bohême-Landshut, qui commença le 1er septembre 1539 et se termina le 10 février 1541, vit le royaume de Bohême (comprenant la Pologne, la Saxe et le Brandebourg) allié au Palatinat et au duché de Milan, affronter le duché de Landshut, le comté de Strasbourg, le comté de Bade, Memmingen et les Trois Ligues. Ce conflit reflète les alliances complexes et changeantes qui ont façonné le paysage politique de l’époque, les puissances régionales se disputant l’influence.
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Le siège de Landshut, qui a commencé le 16 septembre 1539 et s’est terminé le 15 août 1540, était un conflit militaire dans le contexte plus large de la guerre de Bohême-Landshut.
Ce siège prolongé a vu les forces bohémiennes, dirigées par Vaclav VI, assiéger la ville de Landshut, un lieu clé dans la lutte stratégique et idéologique entre les deux royaumes. Après près de onze mois de résistance, Landshut finit par succomber aux forces bohémiennes, marquant un événement important dans la guerre. -
Le 7 octobre 1539, un soulèvement éclata dans la ville autrichienne de Vienne, à l’instigation de résidents autrichiens protestant contre la récente annexion par la Bohême. Cet événement a mis en évidence les tensions politiques et la résistance à la domination bohémienne dans la région, reflétant la lutte plus large entre les deux territoires et la dynamique de pouvoir compliquée de l’époque.
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Le traité de Landshut, signé le 10 février 1541, a abouti à la conversion du comté de Strasbourg, des Trois Ligues et du duché de Landshut au hussitisme. Cet accord a marqué un développement significatif dans le paysage religieux de la région, ces territoires adoptant la foi hussite et s’alignant sur le mouvement dirigé par la Bohême.
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La guerre de Livonie, qui commença le 18 avril 1543 et se termina le 13 septembre 1545, opposa le royaume de Bohême (comprenant la Pologne, la Saxe et le Brandebourg) au grand-duché de Moscovie et au duché de Gotland.
Au cours de ce conflit, les Bohémiens ont cherché à affirmer leur influence dans la région, tandis que les forces russes et de Gotland se sont battues pour défendre et étendre leurs territoires. -
Le siège de Riga commença le 11 juin 1543 et se termina le 9 décembre 1543. Cette opération militaire a impliqué un long siège, où une force a encerclé et attaqué Riga, une ville située dans ce qui est aujourd’hui la Lettonie.
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Le siège de Pärnu a commencé le 14 janvier 1544 et s’est terminé le 14 août 1544. Cette opération militaire impliquait un siège prolongé de la ville de Pärnu, qui est maintenant située dans l’Estonie actuelle.
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Le siège de Novgorod commença le 20 juin 1544 et se termina le 25 octobre 1544. Ce siège a eu lieu pendant la guerre de Livonie, où diverses forces ont assiégé la ville de Novgorod, située dans l’actuelle Russie.
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Le siège de Kazan, initié par le royaume de Bohême le 3 mai 1545 et culminant le 11 septembre 1545, est une opération militaire importante pendant la guerre de Livonie. Les forces bohémiennes assiégèrent la ville de Kazan, un centre important de l’actuel Tatarstan, dans le but de vaincre les forces russes.
Après près de cinq mois de siège, la ville a succombé aux Bohémiens, marquant une victoire majeure dans leur offensive contre la Moscovie. -
Le traité de Tallin, signé le 13 septembre 1545, a permis à Vaclav VI de recevoir les provinces de Riga, Ezel, Reval, Goldingen, Latgalie, Uriev, Narva, Mitau, Wenden et Pärnu. Ces territoires ont été cédés à la Bohême dans le cadre de la colonie après la guerre de Livonie, étendant encore l’influence du royaume de Bohême dans la région balte.
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Le concile de Trente est le dix-neuvième concile œcuménique reconnu par l'Église catholique. Convoqué par le pape Innocent VIII le 22 mai 1542, en réponse aux demandes formulées par Martin Luther et Jean Calvin dans le cadre de la Réforme protestante et à la montée du hussitisme, il débute le 1er décembre 1545 et se termine le 8 septembre 1577. Étalées sur 32 ans, ses 30 sessions couvrent deux pontificats (Innocent VIII et Pie VI) et se tiennent à Trente dans la cathédrale de San Vigilio.
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Le 25 mars 1550, le roi est déclaré malade. Saisissant l’occasion, les nobles de la cour profitèrent de la situation pour accroître leur propre influence à la cour. Ce moment leur a permis d’exercer un plus grand contrôle et une plus grande influence sur les affaires du royaume, en utilisant la maladie du roi comme prétexte pour étendre leur influence politique.
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La guerre de Bohême-Hesse a commencé le 9 janvier 1552 et s’est terminée le 3 mars 1556. Le royaume de Bohême (comprenant la Pologne, la Saxe et le Brandebourg) ainsi que les royaumes de Bourgogne et de Milan, ainsi que le comté du Palatinat, affrontaient le comté de Hesse, Nuremberg, Rothenburg, Goslar et le comté de Berg. Cette guerre a marqué un autre chapitre dans les conflits et les alliances plus larges de l’époque, ces régions se disputant l’influence et les territoires en Europe centrale
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Vilém Ier, né le 30 mai 1534 à Zlonice et mort le 5 juillet 1582 à Prague, est le fondateur de la dynastie Kinsky. Il monta sur les trônes de Bohême et de Pologne en 1553, roi de Prusse en 1578 et régna jusqu’à sa mort. Vilém Ier a joué un rôle important dans la formation du paysage politique de la Bohême et de la Pologne au XVIe siècle, et son héritage a eu des impacts durables sur la région.
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Le 16 janvier 1553, Vilém Ier, roi de Bohême et de Pologne, épouse Eléonore de Bourgogne (1528-1555), fille du roi Philippe VI de Bourgogne. Ce mariage dynastique formait une alliance entre les trônes de Bohême et de Bourgogne et constituait un geste stratégique pour renforcer l’influence des deux royaumes. L’union entre Vilém Ier et Éléonore a jeté les bases d’une collaboration politique et d’échanges entre les deux nations au cours du XVIe siècle.
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La guerre Bohême-Autriche, qui débuta le 11 décembre 1553 et prit fin le 17 février 1556, fut un conflit entre le royaume de Bohême (composé de Pologne, de Saxe et de Brandebourg) et le duché de Milan d’un côté, et l’Empire d’Autriche, l’archevêché de Liège, le duché de Bretagne, l’évêché d’Augsbourg, le comté de Bade, la république de Gênes, le comté de Munich et l’évêché de Trente de l'autre.
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Le siège de Klagenfurt, commencé par les forces de Bohême le 26 décembre 1553 et se terminant le 1er juin 1554, est une opération militaire importante pendant la guerre austro-bohémienne. Les Bohémiens assiégèrent la ville de Klagenfurt, située dans l’Autriche actuelle, dans leurs efforts pour affirmer leur contrôle sur la région. Ce siège a vu une résistance prolongée de la part des défenseurs, qui a duré près de six mois avant que la ville ne succombe finalement à l’assaut bohémien.
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Le siège de Lienz, commencé le 18 juin 1554 et se terminant le 1er août 1554, était une opération militaire menée par les forces de Bohême. Les Bohémiens assiégèrent la ville de Lienz, située dans l’Autriche actuelle, dans leur campagne stratégique pour étendre leurs territoires pendant la guerre austro-bohémienne. Le siège prit fin après environ deux mois lorsque Lienz succomba finalement à l’assaut de Bohême.
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Le siège de Bolzano, commencé le 13 août 1554 et terminé le 25 mai 1555, est une opération militaire importante pendant la guerre austro-bohémienne. Les forces de Bohême ont lancé un siège prolongé sur la ville de Bolzano, située dans l’Italie actuelle, dans le cadre de leur campagne offensive visant à étendre leur territoire et à affirmer leur contrôle sur la région. Le siège dura environ dix mois avant que Bolzano ne succombe finalement à l’assaut de la Bohême.
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Le siège de Trente, commencé le 14 juin 1555 et se terminant le 6 février 1556, est une autre opération militaire des forces de Bohême dans le contexte de la guerre austro-bohémienne. Les Bohémiens assiégèrent la ville de Trente, qui fait maintenant partie de l’Italie, dans le cadre de leur campagne plus large visant à étendre leurs territoires et à exercer une influence. Le siège dura dix mois avant que Trente ne succombe à l’assaut de la Bohême.
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Le traité de Brin, signé le 17 février 1556, a permis à Vilém Ier de recevoir les provinces de Styrie et de Graz, tandis que le duché de Styrie est devenu une entité indépendante. De plus, Ferdinand II renonce à ses alliances avec Philippe VI de Bourgogne, marquant un changement significatif dans la dynamique politique. L’archidiocèse de Liège a notamment décidé d’embrasser le hussitisme, ajoutant ainsi aux transformations religieuses qui ont eu lieu pendant cette période.
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Le traité de Dresde, signé le 3 mars 1556, a des implications importantes pour la région. Le comté de Hesse devint ainsi un vassal du royaume de Bohême. De plus, Rothenburg et le comté de Hesse ont pris la décision d’embrasser le hussitisme comme foi religieuse selon les termes du traité. Cet accord a marqué une restructuration des alliances et des affiliations religieuses dans la région, façonnant davantage le paysage politique de l’Europe centrale au cours de cette période.
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La guerre de Bohême-Mayence commença le 13 mars 1556 et se termina le 11 mai 1558. Le royaume de Bohême (comprenant la Pologne, la Saxe, la Hesse et le Brandebourg), aux côtés des royaumes de Bourgogne, de Milan et du comté du Palatinat, a combattu l’archevêché de Mayence et l’ordre des Hospitaliers. Cette guerre s’inscrivait dans le cadre des conflits politiques et religieux plus larges qui ont marqué le XVIe siècle, les belligérants se disputant le pouvoir et l’influence en Europe centrale.
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Le 29 mars 1556, Vilém Ier, roi de Bohême et de Pologne, épouse Fioralba de Milan (1533-1590). Cette union élargit encore les liens diplomatiques et politiques entre les royaumes de Bohême et de Milan, renforçant les liens entre les deux régions. Leur mariage était un geste stratégique, visant à solidifier les alliances et à maintenir l’influence dans le paysage politique complexe de l’Europe centrale au cours du XVIe siècle.
De cette union naquit:
Vaclav (1560-1582) -
Le traité de Marbourg, signé le 11 mai 1558, a permis à Vilém Ier de recevoir la province de Haute-Hesse dans le cadre du règlement qui a mis fin à la guerre de Bohême-Mayence. Ce transfert de territoire a démontré l’évolution des alliances et des dynamiques de pouvoir entre les différents États européens au cours du XVIe siècle, la Bohême étendant son influence et son territoire sous la direction de Vilém Ier.
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La guerre de Bourgogne-Mulhouse a commencé le 29 mai 1558 et s’est terminée le 16 mai 1561. Le royaume de Bourgogne, allié au royaume de Bohême (comprenant la Pologne, la Saxe, la Hesse et le Brandebourg), et les États pontificaux, s’engagea dans un conflit contre le comté de Mulhouse, le duché de Lorraine, l’empire d’Autriche, le duché de Bretagne, le diocèse de Trente, le diocèse d’Augsbourg, la république de Gênes, le comté de Munich, et la cité-État de Francfort.
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Le traité de Colmar, signé le 16 mai 1561, a pour conséquence que le royaume de Bourgogne reçoit les provinces du Sundgau, du Brisgau, de Mulhouse, de l’Armor et du Finistère.
De plus, Vilém Ier de Bohême a reçu la province de Straubing dans le cadre du traité qui a mis fin à la guerre Bourgogne-Mulhouse. Ce traité a marqué un remodelage significatif de la carte politique en Europe centrale, la Bourgogne et la Bohême étendant leurs territoires et leur influence. -
Le 24 mai 1561, le royaume de Bohême rejoignit une coalition contre le royaume de Suède. Ce développement a été un changement significatif dans les alliances, car le royaume de Bohême cherchait à contrer l’influence croissante de la Suède et à rééquilibrer la dynamique du pouvoir dans la région. La formation de cette coalition était un geste stratégique qui reflétait les tensions et les rivalités entre les puissances européennes au cours du XVIe siècle.
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La guerre de Bohême-Ratisbonne a commencé le 28 octobre 1563 et s’est terminée le 18 avril 1566. Ce conflit impliquait le royaume de Bohême (comprenant la Pologne, la Saxe, la Hesse et le Brandebourg), le royaume de Bourgogne et le duché de Milan d’un côté, face à la ville impériale de Ratisbonne, à l’archevêché d’Aix-la-Chapelle, au comté de Palatinat, au diocèse de Würzburg, au comté de Celje, au duché de Bretagne, au diocèse de Munster, au comté de Gueldre, et la Confédération suisse.
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Le siège de Neubourg an der Donau, commencé le 25 novembre 1563 et terminé le 10 juin 1564, était une opération militaire menée par les forces de Bohême. Ce siège prolongé a été un événement notable pendant la guerre de Bohême-Ratisbonne, où les Bohémiens ont assiégé la ville de Neubourg, située sur le Danube. Le siège dura environ neuf mois avant que la ville ne succombe finalement à l’assaut bohème.
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Le siège d’Aix-la-Chapelle, commencé le 17 janvier 1564 et terminé le 19 septembre 1564, voit les forces de Bohême s’engager dans un siège prolongé de la ville d’Aix-la-Chapelle. Aix-la-Chapelle, située dans l’Allemagne moderne, a été une cible importante pendant la guerre de Bohême-Ratisbonne, et le siège a marqué une bataille cruciale dans le conflit plus large entre les deux nations. La ville a subi un siège de neuf mois avant de finalement succomber à l’assaut bohème.
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Le siège de Berne, commencé le 14 août 1564 et se terminant le 12 décembre 1565, est une action militaire importante impliquant les forces de Bohême. Ce long siège a vu la ville de Berne, la capitale de l’actuel canton suisse de Berne, soumise à un assaut prolongé des Bohémiens. Le siège se poursuivit pendant plus d’un an, au cours duquel la ville résista à l’assaut bohémien avant de tomber sous leur contrôle.
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Le siège de Gueldre, commencé le 25 septembre 1564 et se terminant le 12 mai 1565, a été un événement militaire important pendant la guerre de Bohême-Ratisbonne. Les forces de Bohême ont assiégé la ville de Gueldre, stratégiquement positionnée à la frontière entre le Saint-Empire romain germanique et les Pays-Bas actuels. Ce siège prolongé dura environ neuf mois, Gueldre succombant finalement à l’assaut bohémien.
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La guerre de Bohême-Cologne a commencé le 29 novembre 1564 et s’est terminée le 1er juin 1566. Ce conflit opposait le royaume de Bohême (comprenant la Pologne, la Saxe, la Hesse et le Brandebourg) et le duché de Milan à l’archevêché de Cologne et à l’ordre des Hospitaliers. Cette guerre a marqué une période de troubles en Europe et a renforcé les alliances changeantes et les paysages religieux de l’époque.
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Le siège de Cologne, commencé le 4 octobre 1565 et terminé le 28 mars 1566, fut un événement militaire important pendant la guerre de Bohême-Cologne. Ce siège prolongé a duré plus de sept mois jusqu’à ce que Cologne succombe finalement à l’assaut de la Bohême et tombe sous leur contrôle.
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Le traité de Ratisbonne, signé le 18 avril 1566, a des implications religieuses importantes pour la région. L’archevêché d’Aix-la-Chapelle, le diocèse de Münster et la ville impériale de Ratisbonne se convertirent au hussitisme selon les termes du traité.
De plus, le duché de Provence a reçu le comté d’Anjou dans le cadre du traité. Cet échange religieux et territorial a marqué un changement dans le paysage religieux de l’Europe centrale et l’issue de la guerre de Bohême-Ratisbonne. -
Le traité de Cologne, signé le 1er juin 1566, a eu des conséquences importantes pour la région. Selon ses termes, l’archevêché de Cologne est devenu un vassal du royaume de Bohême et a adopté la foi hussite. Ce traité a marqué un changement significatif dans le paysage religieux et politique de l’Europe centrale au cours du XVIe siècle. La conversion de l’archevêché au hussitisme et sa subordination à la Bohême ont encore renforcé l’influence de la Bohême et de ses alliés dans la région.
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La guerre de Bohême-Lituanie, qui débuta le 1er décembre 1569 et se termina le 11 août 1574, fut le théâtre d’une série d’affrontements opposant le royaume de Bohême (la Saxe, la Hesse, la Prusse, Cologne et le Brandebourg) au grand-duché de Lituanie, ainsi qu’à la république de Venise, au royaume du Danemark et au comté de Wolgast. Ce conflit s’est déroulé dans le contexte de luttes de pouvoir européennes plus larges de l’époque, les nations impliquées se disputant l’influence régionale.
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Le siège de Kaunas, commencé le 18 décembre 1569 et terminé le 12 avril 1570, est un événement militaire important pendant la guerre de Bohême-Lituanie. Au cours de ce siège prolongé, les forces de Bohême assiégèrent la ville de Kaunas, située dans l’actuelle Lituanie. Les défenseurs de Kaunas ont subi un siège de trois mois avant que la ville ne succombe finalement aux assaillants et ne tombe aux mains de la Bohême.
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Le siège de Vilnius, commencé le 27 février 1570 et qui a duré jusqu’au 15 août 1570, a été un événement militaire important pendant la guerre de Bohême-Lituanie. Dans ce siège prolongé, les forces de Bohême assiégèrent la ville de Vilnius, actuellement la capitale de la Lituanie. La ville a subi un siège de cinq mois avant de succomber aux forces bohèmes et de tomber sous leur contrôle.
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Le siège de Polotsk, commencé le 10 mai 1570 et se terminant le 11 octobre 1570, a marqué une confrontation militaire importante pendant la guerre de Bohême-Lituanie. Dans ce siège prolongé, les forces de Bohême assiégèrent la ville de Polotsk, située dans l’actuelle Biélorussie. Les défenseurs de Polotsk résistèrent aux forces bohémiennes pendant plus de six mois avant de finalement succomber et de rendre la ville.
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Le siège de Veliky Louki, commencé le 2 juin 1570 et se terminant le 22 octobre 1570, est un événement militaire important pendant la guerre de Bohême-Lituanie. Ce siège prolongé a vu les forces de Bohême assiéger la ville de Veliky Louki, située dans l’actuelle région de Pskov en Russie. Les défenseurs de Veliky Louki opposèrent une résistance farouche aux troupes bohèmes, mais finalement, la ville tomba aux mains de la Bohême après plus de six mois de siège.
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Le siège de Trévise, commencé le 16 juin 1570 et se terminant le 10 juillet 1570, a vu une confrontation entre Venise et la Bohême dans la ville de Trévise, en Italie. Lors de ce bref siège, les troupes vénitiennes s’engagèrent dans la bataille avec les forces bohémiennes le 26 juin. Après une brève période de conflit, les Vénitiens défendirent avec succès la ville et levèrent le siège le 10 juillet.
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Le siège de Smolensk, commencé le 17 septembre 1570 et se terminant le 11 juin 1571, est un événement militaire important de la guerre de Bohême-Lituanie. Dans ce siège prolongé, les forces de Bohême assiégèrent la ville de Smolensk, située dans l’actuelle Russie. Les défenseurs de la ville de Smolensk ont subi un siège de neuf mois avant de capituler et de rendre la ville aux forces bohèmes.
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Le siège de Pskov, commencé le 26 octobre 1570 et se terminant le 27 novembre 1570, a marqué un événement militaire important pendant la guerre de Bohême-Lituanie. Lors de ce bref siège, les forces de Bohême assiégèrent la ville de Pskov, située dans l’actuelle Russie. La ville de Pskov a subi un siège d’un mois avant de succomber aux assaillants bohèmes et de tomber sous leur contrôle.
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Le siège de Split, commencé le 28 décembre 1570 et se terminant le 23 février 1571, est un événement militaire important du XVIe siècle. Lors de ce siège, les troupes de la République de Venise assiégèrent la ville de Split, située dans l’actuelle Croatie. Les défenseurs de la ville opposent une forte résistance pendant plus de deux mois avant de succomber et de se rendre à l’armée vénitienne.
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Le siège de Belgrade, commencé le 24 mars 1571 et se terminant le 29 juin 1571, a été un événement militaire important au cours du XVIe siècle. Lors de ce siège, les troupes de la République de Venise assiégèrent la ville de Belgrade, située dans l’actuelle Serbie. Malgré la vaillante résistance des défenseurs de la ville, Belgrade a finalement succombé aux assaillants vénitiens après plus de trois mois de siège.
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Le siège de Kolding, commencé le 16 juin 1571 et se terminant le 6 septembre 1571, a été un événement militaire important au cours du XVIe siècle. Lors de ce siège, les forces de Bohême assiégèrent la ville de Kolding, située dans l’actuel Danemark. Après un siège de trois mois, les défenseurs de la ville capitulèrent et la ville tomba aux mains des attaquants bohémiens.
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Le siège de Belgrade, commencé le 20 septembre 1571 et se terminant le 23 janvier 1572, est un événement militaire important du XVIe siècle. Lors de ce siège ultérieur, les forces de Bohême assiégèrent la ville de Belgrade, située dans l’actuelle Serbie. Après plus de quatre mois de siège, les défenseurs de la ville capitulèrent et Belgrade retomba sous le contrôle de l’armée bohème.
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L'Union protestante est une coalition d'États protestants du S.E.R.G, formée entre 1572 et 1585. Elle fut constituée en réaction aux tensions entre protestants et catholiques, qui, au début du XVIIe siècle, finirent par mener à la guerre de Trente Ans. La direction de cette union échut à l'électeur lorrain, Charles III puis au roi du Danemark, Christian II.
Les membres fondateurs sont :
L'Électeur lorrain
L'évêché de Trèves
Le duc de Wurtemberg -
Le siège de Split, commencé le 12 août 1572 et se terminant le 24 novembre 1572, a été un événement militaire important au cours du XVIe siècle. Lors de ce siège, les forces du royaume de Bohême assiégèrent la ville de Split, située dans l’actuelle Croatie. Après trois mois de résistance, les défenseurs de la ville capitulèrent et Split tomba aux mains des attaquants bohémiens.
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La Sainte Ligue catholique est une alliance des États allemands catholiques formée afin de contrecarrer l'Union protestante. La tension entre ces deux groupes mettra par la suite, le feu dans la première phase de la guerre de Trente Ans. L'empereur Ferdinand IV d'Autriche, fondateur de cette ligue, en fut également le premier commandant. En 1573, les États du Saint-Empire romain germanique se réunirent à Lienz pour signer entre eux, pour une durée de neuf ans, un traité d'alliance militaire.
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Le traité de Königsberg, signé le 11 août 1574, entraîne d’importants changements territoriaux. À la suite de cet accord, le duché de Prusse prend le contrôle des provinces de Trakai, Kaunas, Upytė et Žemaitija, tandis que le duché de Brandebourg prend possession de la province de Stolp. Quant au duché de Milan, il a perdu le contrôle de la province de Milan à la suite du traité.
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La guerre de Huit Ans est un conflit qui ont déchiré l’Europe du 22 août 1577 au 25 juillet 1585. Les causes en sont multiples, mais ses éléments déclencheurs sont la montée en Europe de la foi hussite propagée par la Bohême contre le catholicisme imposé par le S.E.R.G dirigé par la maison de Habsbourg. Ces conflits ont opposé les États allemands catholiques aux États allemands protestants du Saint-Empire, pays scandinaves, ainsi que la Bohême qui avait un objectif d'imposer la foi hussite.
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Le siège de Celje, un événement important de la guerre de Huit Ans, a commencé le 16 septembre 1577 et s’est poursuivi jusqu’au 26 février 1578. La ville de Celje, située dans l’actuelle Slovénie, s’est retrouvée assiégée dans le cadre de la campagne militaire plus large de la guerre de Huit Ans. Malgré la vaillante résistance des défenseurs de la ville, Celje a finalement succombé aux forces assiégeantes et est tombée sous leur contrôle.
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Le siège de Salzbourg, qui a eu lieu pendant la guerre de Huit Ans, a commencé le 25 octobre 1577 et a duré jusqu’au 13 juillet 1578. La ville de Salzbourg, située dans l’Autriche actuelle, a été assiégée par des forces opposées dans le cadre d’un conflit plus vaste. Malgré une défense résiliente, Salzbourg a succombé aux forces assiégeantes et a finalement été capturée.
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La bataille d’Augsbourg, livrée le 28 novembre 1578, opposa les forces bohémiennes, totalisant 72 000 hommes, à la Ligue catholique avec 36 000 soldats. Cet engagement fut une victoire importante pour les Bohémiens, car ils réussirent à porter un coup puissant contre une forte position ennemie. L’issue de la bataille consolida davantage le pouvoir bohémien et contribua à l’équilibre de la puissance militaire pendant la guerre de Huit Ans.
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Le siège de Sibiu, qui fait partie de la guerre de Huit Ans, commença le 5 janvier 1579 et se poursuivit jusqu’au 1er septembre 1579. Dans ce conflit, les forces ottomanes assiégèrent la forteresse de Sibiu, qui tomba finalement sous leur contrôle. La chute de la forteresse marqua un moment important dans la campagne militaire plus large, reflétant les alliances changeantes et les revendications territoriales pendant la guerre de Huit Ans.
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Le siège de Lienz, un événement charnière de la guerre de Huit Ans, a commencé le 30 mars 1580 et a duré jusqu’au 8 septembre 1580. Ce siège a de graves implications pour l’empereur du Saint-Empire romain germanique, Ferdinand IV, car la ville de Lienz, qui lui servait de siège impérial, tomba aux mains des forces bohémiennes. La chute de Lienz affaiblit considérablement la position de l’empereur et marqua un tournant dans le paysage militaire et politique de la guerre.
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Le siège de Sibiu, un événement militaire important pendant la guerre de Huit Ans, a commencé le 14 janvier 1581 et s’est terminé le 19 octobre 1581. Dans cet engagement, les forces bohémiennes ont réussi à reprendre la forteresse stratégique de Sibiu, qui était auparavant tombée aux mains de l’ennemi. Cette reprise a marqué une victoire cruciale pour les Bohémiens dans leur lutte continue pour récupérer le territoire et affirmer leur influence pendant le conflit prolongé.
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Vladislav Ier, né le 16 juin 1561 à Budapest et décédé le 4 octobre 1607 à Prague, était le fondateur de la dynastie des Jezeński. Il a accédé aux trônes de Bohème et de Prusse en 1582 et a régné jusqu’à sa mort. Il a été élu Empereur du Saint-Empire le 1er août 1586, consolidant ainsi sa position au sein de l’empire et devenant un souverain influent dans la région.
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Le siège de Szolnok, commencé le 1er août 1582, est un événement notable de la guerre de Huit Ans, alors que les forces espagnoles assiègent la ville jusqu’à sa chute le 23 janvier 1583. Malgré la vaillante résistance des défenseurs de la ville, Szolnok finit par succomber aux forces espagnoles assiégeantes. Ce siège représentait un exploit militaire important pour la partie espagnole, consolidant davantage son emprise sur la région.
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Le siège de Craiova, entrepris par les forces bohémiennes pendant la guerre de Huit Ans, commença le 23 février 1585 et se termina le 21 avril 1585. L’objectif de ce siège était de capturer la forteresse ottomane de Craiova. Malgré les formidables défenses de l’ennemi, les Bohémiens ont réussi à prendre le contrôle du fort après un brève mais intense siège. Ce siège a contribué à la lutte de pouvoir en cours entre les Bohémiens et l’Empire ottoman dans la région pendant la guerre de Huit Ans.
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Le siège de Constantinople, un événement militaire notable pendant la guerre de Huit Ans, a commencé le 5 juin 1585 et s’est terminé le 25 juillet 1585, avec la signature du traité de Westphalie. Au cours de ce siège intense, les forces de Bohême assiégèrent la capitale ottomane, Constantinople, marquant une étape importante dans le conflit plus large.
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Le traité de Westphalie, conclu le 25 juillet 1585, mis fin à la guerre de Huit Ans et restructure le Saint-Empire. Voici les principales dispositions du traité :
Vladislav Ier reçoit les provinces de Celje, Passau, Braunau am Inn, Iași, Suceava, Craiova et Vidin.
Charles II de Bourgogne reçoit la province de Trèves.
Le duché de Wurtemberg reçoit les provinces de Durlach et Augsbourg.
Le canada anglais reçoit la province de Pentagouet
Ratisbonne devient indépendant
L'Autriche devient protestante -
Au cours des négociations entourant la signature du traité de Westphalie en 1585, plusieurs princes hussites, menés par le roi Vladislav Ier de Bohême, ont exprimé leurs protestations face à la déclaration de la foi protestante comme croyance officielle de l’Empire. Ces princes hussites, représentants une majorité au sein de l’Empire, ont fait pression sur l’Empereur Johann III de Clèves pour que la foi hussite soit reconnue égal, sinon supérieure, à la foi protestante.
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Le 3 avril 1586, Vladislav Ier, roi de Bohême et de Prusse, épousa Anne de Danemark (1564-1590), marquant une union significative entre les royaumes de Bohême et de Danemark-Norvège. Ce mariage témoignait de la volonté de renforcer les relations diplomatiques et stratégiques entre les deux royaumes, en plus d’apporter des avantages politiques et économiques à l’alliance.
De cette union naquit:
Marie (1591-1597)
Vaclav 1er juin 1600 -
Vladislav Ier, Empereur du Saint-Empire et souverain de Bohême et de Prusse, accorda l’électorat à Brême le 12 août 1586. Cette décision marqua un point important dans les affaires et la politique internes de l’Empire, car elle accrut sensiblement le pouvoir politique et économique de Brême, tout en apportant de nouvelles possibilités pour l’Empire de se renforcer militairement. En outre, cette décision contribua également à affermir la position de Brême dans la région.
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Le 26 août 1586, Vladislav Ier, Empereur du Saint-Empire et souverain de Bohême et de Prusse, accorda l’électorat à Berg. Cette décision marqua une étape significative dans l’évolution de l’Empire, puisque Berg acquit un nouvel élan économique, politique et militaire, tout en renforçant sa position dans les affaires internes de l’Empire. De plus, cette décision contribua également à consolider la puissance militaire de l’Empire face à ses voisins et rivaux.
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À la date du 1er septembre 1586, Vladislav Ier, empereur du Saint-Empire et souverain de Bohême et de Prusse, accorda l’électorat de Brunswick. Cette décision eut un impact considérable sur la région et sur l’Empire, en offrant de nouvelles possibilités économiques, politiques et militaires à Brunswick. Par conséquent, l’électorat de Brunswick acquit une plus grande autonomie et devint une nation importante dans les affaires des états impériaux.
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À la date du 6 septembre 1586, Vladislav Ier, Empereur du Saint-Empire et souverain de Bohême et de Prusse, accorda l’électorat à Wurtzbourg, un acte qui eut un impact considérable sur la région et sur l’Empire. Cette décision marqua l’accession de Wurtzbourg au rang d’électorat, conférant à la ville de nouvelles possibilités économiques, politiques et militaires. De plus, cette décision renforça également le pouvoir de l’Empire face à ses rivaux et voisins.
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À la date du 14 septembre 1586, Vladislav Ier, Empereur du Saint-Empire et souverain de Bohême et de Prusse, accorda l’électorat à Munich, marquant un moment crucial dans l’histoire de la ville et de l’Empire. Cette décision conféra à Munich un statut éminent, et ouvrit de nouvelles perspectives économiques, politiques et militaires pour la ville. De plus, cet événement contribua également à renforcer la puissance de l’Empire face à ses rivaux et voisins.
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À la date du 18 septembre 1586, Vladislav Ier, Empereur du Saint-Empire et souverain de Bohême et de Prusse, octroya l’électorat à Augsbourg, marquant ainsi un moment historique pour la ville et pour l’Empire. Cette décision conféra à Augsbourg un nouvel élan économique, politique et militaire, ce qui lui permit de consolider sa position dans la région. De plus, l’octroi de l’électorat à Augsbourg contribua également à renforcer l’autorité de l’Empire sur ses territoires.
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À la date du 1er octobre 1586, Vladislav Ier, Empereur du Saint-Empire et souverain de Bohême et de Prusse, octroya l’électorat à Lübeck. Cette décision conféra à la ville un statut éminent au sein de l’Empire, et lui permit de renforcer sa position économique, politique et militaire. De plus, l’octroi de l’électorat à Lübeck consolida également la puissance militaire de l’Empire face à ses rivaux et voisins et marque ainsi une étape importante du règne de Vladislav Ier.
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Au mois de février 1587, des tensions d’envergure surgissent à la frontière entre l’Empire et la République de Venise. Vladislav Ier, Empereur du Saint-Empire, lance une revendication sur la province de Zara, un territoire alors sous le contrôle de Venise. Cette revendication constitue une menace réelle pour la stabilité régionale et suscite une réponse de la part de la République de Venise, qui défend son territoire et cherche à préserver son intégrité territoriale.
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La guerre du Nord, qui débuta le 22 novembre 1587 et se conclut le 18 décembre 1590, était un conflit entre plusieurs États européens. Elle vit s’affronter le royaume de Bohême, allié à la Saxe, la Hesse, la Prusse, Cologne, et le Brandebourg, contre le duché de Frise orientale, le royaume de Suède et la ville impériale de Dithmarse. Cette période fut marquée par des batailles épiques et des négociations diplomatiques complexes pour arriver à un accord de paix.
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Le siège de Paderborn, qui se déroula du 15 mars au 22 juin 1588, était une action militaire entreprise par les forces de Bohême, alors dirigées par Vladislav I. Ce siège visait le contrôle de Paderborn, une ville importante au cœur du Saint-Empire Romain Germanique. Les assauts et les tactiques de siège des forces de Bohême finirent par forcer Paderborn à se rendre, et la ville passa sous contrôle bohémien.
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Le siège d’Emden, qui s’est déroulé du 30 juin 1588 au 19 mai 1589, a été mené par les forces bohèmes, alors dirigées par Vladislav Ier. Ce siège visait à prendre le contrôle de la ville d’Emden, une place commerciale et militaire stratégique dans le nord de l’Allemagne. Après des mois de siège et d’intenses combats, les Bohèmes réussirent à capturer la ville, contribuant ainsi à l’expansion de leur empire et à la consolidation de leur puissance régionale.
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Le siège d’Heide, qui a débuté le 9 février 1589 et s’est terminé le 1er novembre 1589, a été mené par les forces bohêmes dirigées par Vladislav Ier. Cette action militaire visait à prendre le contrôle de la ville d’Heide, un important point central marchand et stratégique. Les troupes bohémiennes ont lancé un siège implacable contre la ville, qui a finalement conduit à sa capitulation et à sa capture par les forces bohémiennes.
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Le 18 décembre 1590, le traité d’Oldenbourg mit un terme à la guerre du Nord.
Plusieurs changements significatifs ont eu lieu :
Dithmarse est devenu hussite, le Brandebourg a reçu la province de Colberg, Wolgast a récupéré sa province légitime de Stralsund, l’archevêché de Cologne a reçu sa province d’Arenberg.
Calenberg, Frise, Oldenbourg, Paderborn et Verden ont acquis leur indépendance.
Ces changements reflètent l’évolution des rapports de force dans la région. -
La guerre Bohême-Venise, qui a duré près de 7 ans, a opposé le royaume de Bohême (composé de Saxe, Hesse, Prusse, Cologne et Brandebourg), le royaume de France et le royaume de Danemark contre la République de Venise, le Grand-Duché de Lituanie et le royaume de Grande-Bretagne. Cet conflit a eu un impact considérable sur la balance militaire européenne de la période, et a influencé les relations diplomatiques entre les monarchies européennes.
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Le siège de Trévise, qui s'est tenu du 19 mai 1591 au 21 mai 1592, était l'action militaire lancée par les forces Bohèmes contre la ville de Trévise, une cité italienne alors sous occupation vénitienne. L'objectif était de prendre le contrôle de cette ville, stratégiquement importante. Le siège avait duré plus d'un an, avant que les Bohèmes ne réussissent finalement à s'emparer de Trévise, contribuant ainsi à leur expansion territoriale.
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Le siège de Vienne, un événement majeur qui a pris place entre le 4 février 1592 et le 1er juin 1592, a été lancé par les forces lituaniennes contre la ville de Vienne, alors sous autorité de l'Empire bohémien. L'objectif de ce siège était de capturer la ville de Vienne, une capitale impériale importante et un symbole de pouvoir dans la région. Après trois mois de siège intense et de combats acharnés, les Lituaniens ont finalement pris le contrôle de la ville.
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Le siège de Vienne, mené par les forces bohémiennes, a débuté le 20 juillet 1592 et s'est terminé le 17 novembre 1592. Il visait à libérer la ville récemment occupée par les Lituaniens. Après des mois de siège, les troupes bohémiennes ont réussi à prendre le contrôle de Vienne, libérant la ville de l'occupation lituanienne. Cet événement marque un tournant dans la guerre et consolide la position militaire de la Bohème dans la région.
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Le siège de Trente, conduit par les forces bohémiennes, a débuté le 16 mars 1593 et s'est terminé le 12 juin 1593. Pendant ces mois de siège, les défenseurs de Trente ont résisté férocement aux assauts des Bohèmes, mais ont finalement été vaincus. La ville est tombée sous contrôle bohémien, contribuant à l'expansion de leur territoire et à leur influence régionale pendant la guerre.
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Le siège de Bolzano, mené par les forces bohémiennes, a commencé le 19 juin 1593 et s'est achevé le 2 septembre 1593. Pendant ce siège, les défenseurs de Bolzano ont résisté avec courage aux assauts des Bohémiens, mais ont finalement été forcé de capituler. La ville est passée sous contrôle bohémien, ce qui a permis à la Bohême d'étendre son influence militaire dans la région.
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Le siège de Craiova par les forces lituaniennes a commencé le 1er février 1594 et s'est terminé le 15 juin 1594. Cette action visait à prendre le contrôle de la ville de Craiova, qui se trouvait sous domination bohémienne. Malgré une défense acharnée, les défenseurs de la ville ont finalement été forcé de capituler. Les Lituaniens ont ainsi réussi à prendre contrôle de la ville et à étendre leur territoire pendant la guerre.
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Le siège de Split, mené par les forces bohémiennes, a débuté le 27 février 1594 et s'est terminé le 30 janvier 1595. Les affrontements ont été particulièrement vifs pendant ce siège, qui visait à prendre le contrôle de la ville de Split. Après des mois de lutte acharnée, les Bohémiens ont finalement réussi à s'emparer de la ville, renforçant ainsi leur position dans la région et étendant leur contrôle militaire.
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Le siège de Vilnius, conduit par les forces militaires bohémiennes, a débuté le 10 octobre 1594 et s'est terminé le 1er avril 1595. Les assauts et les défenseurs de Vilnius se sont déroulés pendant près de neuf mois avant que les Bohémiens n'obtiennent finalement la ville. La chute de Vilnius a contribué à affaiblir la position lituanienne pendant la guerre, et a renforcé le pouvoir de la Bohême dans la région.
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Le siège de Polotsk, initié par les forces bohémiennes, a commencé le 3 juillet 1595 et s'est terminé le 1er août 1595. Pendant ce siège, les forces bohémiennes ont utilisé toutes leurs ressources pour tenter de capturer la ville de Polotsk, qui était sous contrôle militaire lituanien. Après une période intense de lutte et de batailles, les Bohémiens ont finalement réussi à prendre la ville et affaibli la position militaire lituanienne.
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Le siège de Mantoue, mené par les forces bohémiennes, a commencé le 25 mai 1596 et s’est terminé le 7 août 1596. Pendant près de trois mois, la ville a été attaquée par les Bohémiens, qui ont tenté de capturer cette cité italienne. Les défenseurs se sont battus avec courage, mais la ville a finalement été capturée par les Bohémiens, qui ont ainsi étendu leur contrôle militaire dans la région.
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Le traité de Trieste, datant du 5 juin 1597, a conduit à l'indépendance de la principauté de Pskov. De plus, Vladislav Ier a reçu les provinces de Trente, Tyrol, Trieste et Gorice, qui sont passées sous contrôle militaire bohémien. Le traité a ainsi contribué à l'expansion du territoire sous contrôle bohémien et à la consolidation de leur position régionale.
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Le 11 mai 1598, Vladislav Ier a élevé Oldenbourg et Gueldre au statut de ville libre, leur octroyant ainsi un statut spécial dans le Saint-Empire Romain Germanique. Cette décision a permis à ces villes d’acquérir une indépendance économique et administrative, contribuant ainsi à leur développement et à leur importance régionale. Il s’agit d’une étape importante dans l’histoire de ces villes et de la région.