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Élection du parti libéral
«C'est l'temps qu'ça change!»
Tel était le slogan de «l'équipe du tonnerre» du parti libéral de Jean Lessage qui remporte la victoire au élection de 1960. Leur victoire met fin aux 16 années de Grande noirceur du gouvernement de Maurice Duplessis. Parti libéral du Québec. (1960). -
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Recul religieux
Sous le gouvernement de Maurice Duplessis, l'Église catholique est omniprésente dans toutes les sphères de la société québécoise. À partir de 1961, le Québec se laïcise. En effet, on voit graduellement un séparation franche entre l'État et l'Église. De plus, on voit des principes contraire à la doctrine l'Église comme la contraception et le divorce circuler et être diffusés à la télévision et à la radio! -
Adoption de la loi sur l'assurance-hospitalisation
L'assurance-hospitalisation, c'est l'ancêtre de la carte d'assurance-maladie! En effet, avant 1961, les frais d'hospitalisation étaient payés par des organismes privés. Avec la loi sur l'assurance-hospitalisation, le gouvernement doit dorénavant payer la moitié des frais d'hopitalisation des québécois. Girard, P. (1961). -
Ouverture de la Commission Parent
Les babybomers devenus enfants doivent maintenant aller à l'école! Le gouvernement est, donc, confronté à une immense vague d'enfants à scolariser et un manque important d'enseignants. Aisni, il constate qu'il est temps de reformer le programme scolaire. C'est pourquoi, on ouvre un commission d'enquête qui réformera le système d'éducation que l'on appelera la Commission Parent. Une vraie révolution éducative est en marche! La bibliothèque numérique Les Classiques des sciences sociales. (s.d.) -
Marie-Claire Kirkland-Casgrain, première femme élue à l'Assemblée législative du Québec
Une première femme au Parlement! Marie-Claire Kirkland-Casgrain est la première femme a sièger à l'Assemblée législative du Québec après avoir été élu en 1961. Elle est aussi la première femme à posséder le titre de ministre du Québec, puisqu'elle est nommée Ministre des transports, en 1964, Ministre du tourisme et de la pêche, en 1970, puis, Ministre de la culture, en 1972. -
Victoire des libéraux
Dans le but de rendre autonome la province sur le plan économique, Jean Lessage décide de relancer des élection avec comme objectif principal la nationalisation de l'électricité. Avec leur fameux slogan «Maintenant ou jamais! Maître chez nous!», le parti libéral obtient la victoire avec une majorité de sièges. Le projet de la nationalisation de l'électricité peut donc aller de l'avant!
PHOTO: Parti libéral du Québec. (1960). -
Nationalisation de l'électricité
En 1963, René Lévesque et Jean Lessage rachètent les onze compagnies privés qui règnaient en maître sur la distribution de l'électricité du Québec pour une somme de 604 millions de dollars. Ils entreprènent ensuite d'unifier les réseaux sous une même bannière: Hydro-Québec. Cette transaction signe la nationalisation de l'électricité du Québec. Elle reste aujourd'hui la plus impressionnante opération financière de l'histoire de la province.
PHOTO: Musée québécois de la culture populaire. (s.d.). -
Création des premiers C.É.G.E.P
Dans la lancée de la réforme éducative, le gouvernement décide de revoir le système d'éducation supérieur. Afin de faciliter le passage entre le secondaire et l'université, on crée une étape intermédiaire qui fait le pont entre les deux niveaux. On appelle ces milieux d'enseignement: Collège d'enseignement général et professionnel ou C.É.G.E.P. Ainsi, il est maintenant plus facile pour les jeunes d'avoir accès aux études supérieurs. Musée québécois de la culture populaire. (s.d.) -
Création de la RAMQ
La voici, la voilà: la carte d'assurance-maladie! EN 1969, le gouvernement implante le régime d'assurance-maladie du Québec (RAMQ) afin de facilité l'accès aux soins de santé des Québécois. Service national du RÉCIT, domaine de l’univers social. Licence : Creative Commons (BY-NC-SA) -
Création de l'Office de la langue française
Afin de promouvoir et protéger la langue française au Québec, le gouvernement de Jean Lessage crée l'Office de la langue française.C'est ainsi que l'on souhaite enrichir et corriger le français écrit et parler au Québec en plus de contribuer à la lutte contre les anglicismes.
