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Félix Grande, le père d'Eugénie, s'enrichit en achetant du vin pendant la Révolution française.
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Année où les trois mille peupliers furent plantés sur la propriété de Monsieur Grandet.
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Grande acquiert une richesse considérable et devient connue dans la région.
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La fameuse vendange de Grande, qui lui apporte une grande rentabilité.
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En 1816 les plus habiles calculateurs de Saumur
estimaient les biens territoriaux du bonhomme à près de quatre millions ; mais, comme terme moyen, il avait dû tirer par an, depuis 1793 jusqu’en 1817, cent mille francs de ses propriétés, il était présumable qu’il possédait en argent une somme presque égale à celle de ses biens-fonds. -
Au commencement de 1818, les
Cruchotins remportèrent un avantage signalé sur
les Grassinistes. -
Le lendemain matin, premier janvier 1820, la
terreur flagrante à laquelle la mère et la fille
étaient en proie leur suggéra la plus naturelle des
excuses pour ne pas venir solennellement dans la
chambre de Grandet. L’hiver de 1819 à 1820 fut
un des plus rigoureux de l’époque. -
Au mois d’octobre 1822 éclatèrent
particulièrement ses vertus, sa patience d’ange et
son amour pour sa fille ; elle s’éteignit sans avoir
laissé échapper la moindre plainte. -
Dans l’année 1827, son
père, sentant le poids des infirmités fut forcé de
l’initier aux secrets de sa fortune territoriale, et
lui disait, en cas de difficultés, de s’en rapporter à
Cruchot le notaire, dont la probité lui était
connue. En 1827 donc il revenait à
Bordeaux, sur le Marie-Caroline, joli brick
appartenant à une maison de commerce royaliste. -
Balzac fait découvrir la vie d'Eugénie, une jeune femme qui vit sous la stricte influence de son père riche mais avare.
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L'histoire se déroule alors qu'Eugénie développe des sentiments pour Charles, tandis que dans le même temps la pression familiale et les difficultés financières s'intensifient.