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Champlain fonde Québec, premier établissement français permanent.
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Les Français développent des liens avec la confédération Huron-Wendat et forme une alliance formelle.
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Premier colon installé en Nouvelle-France.
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La compagnie des Cents-Associés voit le jour en avril 1627 et elle mise sur pied par le cardinal Armand Jean du Plessis de Richelieu.
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Les frères Krike ont capturé 400 colons avec leur flotte anglaise.
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Les français signent le traité et en vertus de celui-ci les anglais quittèrent la Nouvelle-France.
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Champlain envoie le sieur de Laviolette construire un fort permanent a Trois-Rivière.
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En plus d'êtres des missionnaires, les Jésuites offrent un service d'enseignement en fondant un collège a Québec.
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Jeanne Mance fonde Ville Marie avec l'aide de Maisonneuve.
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La compagnie des Cents-Associé loue son monopole a la communauté qui comprends cette fois ci une majorité d'investisseurs.
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Une guerre éclate entre les français, les Hurons-Wendat et les iroquois a cause du commerce que les français et leur alliés entretiens.
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Le territoire de la Nouvelle-France s'élargit notamment sur Terre-Neuve, le Canada et l'Acadie. Elle fondent aussi Trois-Rivières, Montréal, et Port-Royal
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Surnommé le Roi soleil il accède au trône a l'age de quatre ans. Par la suite lorsqu'il est en age de prendre des décisions il instaure un gouvernement royal qui lui donne tout les pouvoirs et droits.
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L'état français envoi ce qu'on appelle les filles du Roy en N-F pour les marier a des colons pour coloniser d'avantage.
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On compte environ 3000 colons d'origine française établis dans la vallée du Saint-Laurent, qu'on nomme alors Canada.
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C'est le premier contingent militaire d'importance, il est formé de 1200 soldats et officiers. Il a comme principale missions d'assurer la défense de la colonie, et de combattre les Iroquois.
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Le secrétaire d'états de la marine instaure ce qu'on appelle des congés de traite pour réglementer le commerce. On accorde un maximum de 25 congés de traite par années et seul ceux qui en détiennent peuvent pratiquer le commerce de fourrures.
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Les autorités française décident de réduire le territoire d’exploitation et de fermer les forts du a une sur exploitation du castor. Il y avait plus de fourrures que de demandes sur le marché.
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Les iroquois reconnaissent que les fourrures des Premières Nation qui viennent des pays d'en haut devrait être échangé au français. Ils décident aussi de rester neutres face aux possible conflit qui oppose les Français et les Anglais. Finalement les Premières Nation qui ont signé le traité acceptent que le gouverneur général de la Nouvelle-France agissent comme leur médiateurs.
