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Premiers travaux scientifiques sur la reconnaissance faciale, des chercheurs américains, Woodrow Bledsoe, Helen Chan et Charles Bisson.
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Eigenfaces, premier exemple réussi de technologie de reconnaissance faciale, par Alex Pentland et Matthew Turk, du Massachusetts Institute of Technology.
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Tout s’accélère grâce au deep learning, une méthode d’apprentissage automatique s’appuyant sur des réseaux de neurones artificiels.
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TAJ, premier outil français de reconnaissance faciale pour aider les enquêtes judiciaires
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Des chercheurs de l'université de Georgetown publient une étude montrant que la reconnaissance faciale est souvent moins précise pour les personnes de couleur et les femmes, ce qui peut conduire à des discriminations.
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La ville de Nice expérimente pour la première fois en France la reconnaissance faciale dans l’espace public pendant trois jours, à l’occasion du carnaval.
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Le Parlement européen interdit l'utilisation de la reconnaissance faciale pour l'identification des citoyens européens.
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La police chinoise utilise la reconnaissance faciale pour identifier et arrêter un fugitif lors d'un concert.
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La ville de San Francisco interdit l'utilisation de la reconnaissance faciale par la police et les agences gouvernementales.
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Le groupe de défense des droits de l'homme Amnesty International publie un rapport critiquant l'utilisation de la reconnaissance faciale par la police britannique.
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La ville de Portland, dans l'Oregon, interdit l'utilisation de la reconnaissance faciale par les entreprises et les organismes gouvernementaux.
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L'ONG Human Rights Watch publie un rapport sur les dangers de la reconnaissance faciale en matière de droits de l'homme.
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Le Parlement européen adopte une résolution appelant à une interdiction de la reconnaissance faciale dans les espaces publics, pour protéger les libertés individuelles.
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La CNIL, s'oppose à l'utilisation de la reconnaissance faciale lors des Jeux Olympiques de Paris 2024, estimant qu'il n'y a pas de garanties suffisantes pour protéger les données personnelles.
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L’Assemblée a adopté l’article 7 du projet de loi sur les JO de 2024 à Paris. Il autorise l’emploi d’algorithmes dits intelligents pour traiter les images captées par les caméras, afin d’y déceler des situations « atypiques ».