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La révolution se convert en un régime stable, affaibli par la défaite des armées bonapartistes. Bien que Napoléon III avait obtenu un soutien populaire, les classes dirigeantes estimaient que la révolution était inévitable, d'où l'absence de violence. -
Après de la défaite de Napoléon III à Sidan, une révolution spontanée éclate a France. La gauche républicaine, dirigée par Gambetta et Favre, prend le contrôle du mouvement et forme un gouvernement provisoire. -
Le gouvernement abandonne Paris, laissant un vide de pouvoir rapidement comblé par la création de la Commune, dominée par les républicains radicaux. Thiers, avec l'appui de Bismarck, réprime les Communes provinciales, puis assiège Paris avec une armée de 1 300 000 hommes. Le siège se termine par une répression sanglante en mai 1871, avec 20 000 fusillés et des milliers de déportés, soulevant des questions sur la violence excessive utilisée. -
Premières de la IIIe République, opposent les républicains, favorables à la guerre, aux royalistes, partisans de la paix. Les royalistes remportent la majorité, avec 400 élus sur 645 sièges. -
Le gouvernement tente de retirer les 227 canons achetés par les Parisiens, symboles de leur résistance. Les habitants s'opposent à cette saisie, et une partie de l'armée rejoint leur cause. Des affrontements éclatent, deux généraux sont fusillés, marquant le début du conflit entre Versailles et Paris. -
Les élections partielles du 2 juillet
1871 montrent un redressement très net de la gauche et surtout des radicaux. -
Majorité républicaine importante (360 contre 170) émerge. La répartition géographique des résultats est notable. -
En 1873, Thiers réussit à évacuer le territoire et à payer rapidement l'indemnité de guerre. La réforme de l'armée introduit la conscription par tirage au sort, marquant un pas vers la construction nationale. Malgré un régime politique provisoire, la flexibilité de la République permet son adaptation et sa pérennité.
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En octobre 1877, les républicains remportent 327 sièges contre 207 pour les monarchistes, tandis que les orléanistes ne participent pas au scrutin.
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Le président est républicain,
l'assemblée est républicaine, il faut donc affirmer des symboles -
on commémore la commémoration, la fête de la
fédération. Ces symboles sont acceptés par tous sauf les légitimistes.