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Des chercheurs imagine de graver, sur un cylindre couvert de papier paraffiné et enduit de noir de fumée, les paroles prononcées devant une sorte de cornet garni d'une membrane. Une pointe marquait les vibrations sur le papier du rouleau et l'on pouvait réentendre faiblement les mots enregistrés.
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Thomas Edison crée un appareil capable d'enregistrer sur un cylindre de cire et permettant d'écouter ensuite l'enregistrement.
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Dès 1887, on grave les sons en spirale sur un disque au lieu du rouleau. Mais plus tard, à partir du disque, on fait ensuite un moulage qui permet de fabriquer par pressage autant d'exemplaires qu'on veux du même enregistrement. On écoute le disque en posant sur lui une aiguille surmontée d'un tube métallique qui conduit le son dans un énorme pavillon en forme d'entonnoir.
Encore plus tard, l'aiguille que l'on devait souvent changer pour ne pas abimer le disque est remplacée par un saphir. -
En 1906, grâce aux progrès techniques, la triode est crée. Elle permet l'amplification d'un signal électronique.
Elle évolue et le microphone est crée. Il transforme les sons en variation d'un courant électrique transmis ensuite au graveur électrique -
A partir de 1928, en Allemagne, l'enregistrement magnétique progresse avec une bande de papier recouverte de particules de métal. En 1935, sont produit une bande magnétique plastique et un Magnétophone. (Machine qui reproduit le son aussitôt qu'il a été enregistré).
A la veille de la 2nd guerre mondiale, personne ne connait l'existence du magnétophone, lorsque pendant la guerre on entend le discours d'Hitler dans 2 endroits différents pratiquement en même temps. -
Pendant la 2nd guerre mondiale, il y a une pénurie de shellac. (produit de raffinage de résines végétales, qui constitut les disques)
Les producteurs de disques, découvrent alors le vinyle, une résine de plastique dérivée du pétrole. -
Grâce au progrès techniques de la guerre, la gravure d'un sillon beaucoup plus fin est crée. Elle permet une meilleure qualité du son et un plus long d'enregistrement.
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On invente un magnétophone qui fixe les sons sur une bande magnétique faite d'un ruban en matière synthétique recouvert de fines particules de fer. Chaque grain s'aimante différemment en passant sur le petit rouleau transmettant les courants électriques venus du micro. La tête de lecture lit les courants électriques produits par la bande, le signal est ensuite amplifié. Par la suite, on pourra effacer la bande en enregistrant autre chose.
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La mini cassette (miniK7) est un modèle réduit du magnétophone. Elle permet à chacun d'enregistrer facilement ce que l'on veut et surtout d'écouter de la musique sans s'encombrer d'un disque.
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Pour supprimer le haut-parleur et éviter les énormes écouteurs, on crée de petites oreillettes. Chacun peut se promener en écoutant ce qu'il veut. Les systèmes employant la K7 se multiplient : lecteur pour voiture dans les années 70.
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Grâce à la réflexion d'un rayon laser, Philips met au point le CD-Audio de 12 cm (1 h 14 de musique). Le disque compact est une technique de stockage par sillons. Il s'agit de faire tourner le disque sur lui-même pendant qu'on grave un sillon de l'extérieur vers l'intérieur. C'est un laser qui balaie le disque compact. Les données sont enregistrées dans un CD par code binaire.
Sur un disque, on peut graver tout ce que l'on veut. Comme c'est un rayon laser qui lit le disque, il y a aucune usure. -
Les sons numérisés sont stockés dans une mémoire électronique.
Grâce à l'enregistrement numérique d'autres solutions techniques se développent.