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Les premières nations utilisent leur environnement, leurs activités économiques et leurs modes de vie(nomade ou sédentaire) pour faire du commerce avec les groupes voisins. Le commerce de fourrure se fait en été entre les algonquins et les iroquoiens et est toujours scellé par une alliance(un rituel).
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Les Iroquoiens, les Algonquiens et les Eskimo-aléoute étaient les trois familles linguistiques sur le territoire au Québec vers 1500. Les Iroquoiens étaient sédentaires tandis que les Algonquiens et les eskimo-aléoutes étaient nomades. Ils ont chacun adapté leur mode de vie à l'environnement qu’elle est situé.
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En 1524, Giovanni da Verrazano a comme mission, donné par le roi François 1er, d’explorer l’Amérique du Nord. Malheureusement Verrazzano n'a pas trouvé une route vers ce dernier mais en 1534 le navigateur Jacques Cartier poursuit l’exploration afin de rapporter de l’or et d’autres métaux précieux.
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Jacques Cartier, mandaté par le roi, poursuit l’exploration du Nord de l’Atlantique afin de rapporter de l'or et d’autres métaux précieux. Deux Iroquoiens (Domagaya et Taignoagny) accompagnent Jacques Cartier en France. Après avoir appris le français, les Iroquoiens se présentent au roi et ce dernier autorise Cartier de retourner en Amérique.
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Des obstacles empêchent Cartier de poursuivre ses explorations vers l’ouest. Les rapides sont trop forts et l’hiver s’approche. Le froid et le scorbut ont eu un grand impact sur l’équipage de Jacques Cartier.
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Jacques Cartier installe une colonie à cap Rouge, à l’écart de Stadaconé, et la nomme Charlesbourg-Royal.
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Au printemps, Le navigateur pense avoir trouvé de l’or mais quand il quitte la colonie et retourne en France, il découvre que les minéraux étaient du pyrite de fer du quartz. Ces roches n’ont aucune valeur.
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À partir de 1598, des compagnies obtiennent un monopole et ils tentent de s’installer sur le territoire de la Nouvelle-France. Les compagnies s’installent mais plusieurs aspects leur font abandonner les postes. Par exemple, les contacts avec les Autochtones, l’hiver, la maladie et le manque de nourriture.
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Les Européens échangent des articles en métal, des articles en tissu et des articles décoratifs pour des fourrures et peaux venant des Autochtones. Les fourrures et les peaux que les Autochtones fournissent ont une grande valeur dans la marché européen. Alors, plusieurs fabricants de chapeaux français essaient de s’en procurer.
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Le roi Henri IV décide de contrôler le commerce. Il accorde à une seule compagnie le droit de faire le commerce des fourrures. Le roi met en place un monopole commercial. En retour, les compagnies doivent financer l’expédition, construire des installations en Nouvelle-France et emmener des colons.
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Il y a eu de nombreuses tentatives d’installations de postes de traite, par exemple à Tadoussac et l’île de Sable. Malheureusement, plusieurs d’entre eux ont été abandonnés à cause du manque de nourriture et la maladie déciment durant l’hiver. Le climat froid a aussi été un facteur difficile pour les colons.
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L’alliance franco-amérindienne en 1603, autorise au Français de s'installer sur le territoire des autochtones. En échange de cet acte donné par les autochtones, les français leur offrent un appui pour lutter contre les iroquois.Cela permettra aussi aux français d’avoir accès aux fourrures et aux autochtones d’avoir des produits européens. Cette alliance créera un avantage pour les deux groupes.
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En 1640, les guerres iroquoises ont comme enjeu de contrôler le commerce des fourrures et aussi de remplacer des Iroquoiens morts par des prisonniers de guerre. Pour avoir le contrôle du commerce des fourrures, les Iroquoiens, les Agniers, décident d’attaquer le réseau principal de traite de fourrure qui est l’Huronie. Suite à la destruction de l’Huronie, les Français explorent le territoire au Nord pour faire le commerce avec d’autres Algonquiens.
