Les Métis.

  • Period: to

    Loi sur la Manitoba

    • La Rébellion des Métis à la Rivière-Rouge mènent des changements pour la Loi sur le Manitoba. La constitution de la nouvelle province garantissait des droits d’instruction aux catholiques et aux Métis. Ils ne pouvaient pas utilisé les terres des Métis. La loi garantissait les 500 000 hectares de terres et des fermes qu’ils possédaient déjà le long de la rivière Rouge.
  • Certificats de concession de terre.

    Certificats de concession de terre.
    Au lieu de concéder des terres au Manitoba, le gouvernement du Canada a donné aux Métis des certificats de concession de terre. Les Métis devraient faire un choix d’accepter e certificats de concession de terre ou devenir des « Indiens inscrits ». Selon plusieurs Canadiens, les Métis n’avaient pas les mêmes droits fonciers que les Premières Nations et n’avaient donc pas besoin des réserves.
  • La Rébellion du Nord-Ouest.

    La Rébellion du Nord-Ouest.
    La Rébellion du Nord-Ouest protéger les terres des Métis sur leur territoire actuel de Saskachewan. A ce moment, le chemis de fer et les colons arrivaient deans L'Ouest canadien. Cet évènement a un opionion vraiment divers encore a cet journée, Pour plusieurs Métis, c'était façon d'affirmer leurs droits, comme lors de la Rébellion de la Rivière- Rouge. Pour d'autre (le gouvernement Canadien).
  • L'église cathollique.

    L'église cathollique.
    Plusiers colons Métis se sont établis å Saint-Paul-des-Métis, sur des terre qui était offerts par L'église catholique. Ils ont du quitter les lieuxs à la fermeture de la colonie parce qu'il possédant pas de titre de propriété.
  • Réservé des terres pour les Métis.

    L'Association des Métis de l'Alberta et des Terrioties du Nord-Ouest a fait des pressions pour que le gouvernement des l'Alberta réserve des terres aux Métis. Quand le gouvernement a adopté le loi sur l'amélioration de la condition des Métis ( Métis Population Betterment Act, les gouvernment a finalment conédait des terres aux Métis. Le gouvernement de l'Alberta a créé douze établissements métis temporaires.
  • Period: to

    Propiétaires du Métis,

    Les Métis n'étaient pourtant pas propriétaires des terres. Puis, après que quatre établissement se sont avérés imporpres à l'agricultire, la chasse et la pêche, le gouvernement albertain les a fermés et il a repris possession des terres.
  • L'article 35

    L'article 35
    Les Métis ont fait pression que leurs droit seront recconus dans la Constitution du Canada. En 1982, le gouvernment a mis l'article 35 de la nouvelle Loi constitutionelle a confirmé que les Métis vont etre parmi des peuple autochtones du Canada possédant des droits particuliers.
  • Les Droits des Métis,

    Les Métis ont obtenu la propriété permanente de terres de leurs colonies et le droit de s'autogére.
    - La loi de 1990 modifiant la Constitution de l'Alberta.
    -L'accord entre l'Alberta et les Métis sur les terres d'établissement
    - La Loi sur les établissement métis.
    - La Loi sur la protection des terres visuées par les règlements touchant les Métis,
    Un entente avec la gouvernement d'Alberta a consacréle droit des Métis de participer à l'exploitation des ressources gazières et pétrolières.
  • Pêche et la chasse.

    La Cour suprême a statué que les Métis ont la droit de pêcher et chasser parce que sa faisait parti du constitution des Premières Nations
  • Injustice vers les Métis.

    Injustice vers les Métis.
    Le Métis Settlements General Council and le nations Métis de l'Alberta à eu finalement un entente avec the gouv't de l'Alberta. Ils aimeraient soulever à propos de la reconnaissance des Droits de chasse et pêche pour les Métis. Leur verdict final a déterminé que les Métis ont le droit de chasser et de pêcher pour se nourrir, et ne doit pas permettre à leur permettre d'accéder à cela. Mais en 2007, sans aucun avertissement ou consentement de les Métis. Le gouv't a limiter les droits des Métis.
  • Compensation.

    Compensation.
    En Avril, les Métis du Manitoba ont intenté un procès en vue d'obtenir un compensation pour les terres que la Loi sur la Manitoba a lui promis, mais n'a jamais reçu.